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Petite habitude du quotidien (Rinne) [Fini]
Fyodor
Petite habitude du quotidien (Rinne) [Fini]  J9ak
FT : Eaque-Lost canvas
Crédit : Ma pote & Absinthe & Pure
Âge : 25 ans
Habitation : principale: Shibuya secondaire: Shinjuku
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Fyodor
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Le crépuscule du soir indiqué que l’heure de pointe était passé depuis longtemps, tu continues à pianoter sur ton ordinateur la cigarette au bec, finissant le dernier travail de la journée, le retard n’était pas permis, le retard signifier être un mauvais manager et faisait perdre beaucoup de temps, d’argent et ralentissait le travail. Les pensées tournées dans ta tête, qu’allais-tu faire une fois rentrer ? Plusieurs idées.

Tu recules t’enfonçant dans le fauteuil de bureau, expirant la fumer avant de sourire, rentré te prélasser avec Cosmo devant un documentaire animalier était la meilleure chose.
La sonnerie de téléphone te sort des songes, tu regardes l’appel, c’était Fusaaki, ton bras droit et chef de tes hommes de main.

Tu décroches.

-bonsoir monsieur, le cordeau a paillé.

Tu t’enfonces encore plus dans ton fauteuil, mécontent de la nouvelle.

- La dernière note ?

-Feuille noire. Quels sont vos ordres, monsieur ?

Ta mâchoire se crispe, de mécontentement, tu fusil le plafond du regard et renverse ton bureau d’un coup de pied ne trouvant rien, d'autres pour passer ta fureur. Ta cible entant que corrupteur du gang avait résigné à collaborer et tout ça a causse d’un autre corrupteur qui s’est cru intelligent de t’embêter et de te voler ta proie. Il ne restait plus qu'à abattre la cible (le corbeau) et à te venger de la feuille noire (le corrupteur).

- Dit aux hommes de se diviser en deux équipes. L’équipe A ira réglait son compte à ce fumier et assigne notre meilleur assassin à cette tâche. Tu te lèves marchant jusqu’au mur de verre pour regarder la ville, prenant une autre bouffée de nicotine.

-l’équipe de nettoyage ?

-Pas besoin, je veux que les autres corrupteurs d’Exodus comprennent l’avertissement, quel sort les attend s’ils s’empennent à mes affaires.

Pourquoi prendre la peine d’échafauder une méthode complexe pour tuer une sous-merde sans importance au moins tu lui as trouvé une utilité servir d’exemple, et puis dans le gang, il n’y avait aucune règle alors tuée un autre Exodus était permis~❤️ l’avantage d’être dans un gang de bâtards finis.

-Fussaki, assigne le nouveau à l’équipe B et demande lui de porter le costume que je lui ai offert, assures-toi qui le porte. Sinon je vous tue tous les deux. Tu reprends une dernière bouffée avant de continuer de donner les directives et instruction froidement. Ils n’allaient pas voir le jour se levait. La sentence sera dans le dédale, place les sentinelles et les cavaliers à l’endroit habituels, l’équipe de nettoyage à proximité et je veux deux tours parmi l'équipe centrale, le reste, tu as carte blanche. Utilise-le piège a souri.


-Très bien monsieur.

Tu raccroches en jurant. Tu n’aimais pas être sur le terrain sauf pour nettoyer toi-même tes erreurs. Tu détestais nettoyer ton pot de peinture qu’un autre avait renversé. Le dédale était des ruelles à Shibuya, complexe à cause des murs qui se ressemble, se perdre était facile si on ne connaissait pas le labyrinthe. Tu contrôlais une petite partie du cartier, par entant qu’Exodus, mais entant que Subaru Hayato. Que ce soient les caméras de surveillance ou la police du cartier tous étaient dans le creux de ta main. Tu fixes l’heure de l’exécution et l’envoi à ton bras droit.

Tu finis rapidement le dernier dossier après avoir remis ton bureau en place, tu quittes le travail pour te rendre au Famil-mart en voiture. Tu es un habituer qui achète chaque semaine une cartouche de cigarettes et d'autres articles (fuck le cancer des poumons).

Tu entres, souhaitant bonsoir aux personnes pressentes connard ou pas, tu étais polie. Pour ta plus grande surprise planche à pain semblé plus déprimer que d’habitude,c'était la sensation quel donné, tu pouvais très bien te tromper après tout elle était aussi expressive qu'une poupée en plastique.On psychologie la gestuelle disait quatre-vingts pourcents de ce qu’on ne disait pas, voilà pourquoi tu maîtriser toujours la tienne, en bon hypocrite. Tu avances jusqu’à la caisse avec ton sourire mélangeant amabilité et joie.

-Bonsoir, excusez-moi, vous semblez bien abattue, il s’est passé quelque chose ? Demandes-tu légèrement inquiet te penchant un peu devant la demoiselle. Je trouve dommage de ne pas trouver votre sourire habituel, vous semblez plus rayonnante quand vous souriez.

Rinne
Petite habitude du quotidien (Rinne) [Fini]  1503175769-2017-08-19-22h49-10
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Rinne
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    Jeudi 13 Juillet 2017


Intrusion


étaient moites entremêlées d’averses parfois drues ; les typhons ne tarderaient pas à arriver, même à Tokyo. Le Japon avait ce climat haché et frondeur, qui perturbait les corps, assenait des conditions parfois difficiles aux Japonais. Mais comme tout nippon, Rinne avait l’habitude. Cependant, dans la moiteur Tokyoïte, l’ambiance parfois lui pesait. C’était l’époque des festivals. Des activités en plein air. Et Rinne sortait peu ; et la foule la ramenait parfois à la solitude qui jamais n’expirait.

Ce n’était pas qu’elle se souciait d’être seule. Ou plutôt, de ne pas avoir d’ami. De ne plus, en avoir. De connaître peu de monde, de s’attarder sur peu de gens. Rinne était souvent dans sa bulle, son monde fonctionnait contre le vent et les marées externes ; et rien n’apprêtait vraiment son cœur au trouble. Rien ne la fascinait réellement ; rien n’enlevait de son visage placide mais avenant les masques d’indifférence qu’elle y avait inscrit ; à coup de burin, et au début, à ses dépends.

Rinne avait toujours été doué pour s’effacer
Derrière les évènements.

C’était plutôt une sensation latente ; une impression constante mais invisible, « en dessous », qui agissait sur son humeur, sa forme, apportait la fatigue. Et ce soir, Rinne avait accumulé plusieurs journées d’errances inconscientes. Et sans doute que malgré ses efforts, l’interface de son visage avait dut laisser planer, pour le regard expert, un très léger relent de cette humeur dissidente.

Restaient ancrés, cependant, dans un coin de sa tête, les deux seuls individus qui en vallait vraiment la peine. (Kogo) (Lavande). Mais les deux ignoraient la quasi totalité de ses démons ; elle les aimait profondément, mais avait l’impression que rien ne serait jamais complet. Kerby, c’était différent. C’était d’ailleurs sans doute le fait qu’il en sache autant qui l’y attachait terriblement. Mais il était loin (et lui manquait, souvent).

Toujours est-il que cela faisait plusieurs semaines qu’elle n’avait revu aucun d’entre eux. Et si Rinne ne se le figurait pas ; le contact social avait son importance non négligeable. Même pour la petite huitre charitables. Il lui fallait encore ré-apprendre les mécanismes naturels du pas en avant ; celui qui permet de se nouer aux autres, d’une certaine façon, « d’y arriver ».

Tout cet agencement expliquait sans doute la scène présente. Inhabituelle, et dérangeante.

Un client lui avait fait remarquer son état déliquescent. Quelqu’un s’était intéressé. Avait perçu. Le regard froid de la caissière, froid parce que clairement inanimé et réflechissant, s’était levé vers lui. Avait détaillé son visage, jaugé discrètement. Elle le connaissait, l’avait déjà vu plusieurs fois. Un beau jeune homme, mais dont l’aura ne lui revenait pas.
Que voulait-il, en lui demandant ça ? Pourquoi s’était-il attardé sur elle ? Qu’y gagnait-il ? N’avait-il pas mieux à faire ?
Ou était-ce un de ces gros lourds pas si inhabituels ?
Rinne leur passait généralement au travers. Mais y’avais quelque chose dans ses manières qui ne s’y rattachait pas. Nan. Y’avais rien d’alarmant dans sa demande formulée de façon un peu intrusive ; mais Rinne était méfiante. C’était bien son principal point commun avec le gang auquel s’était lié son destin.

    « Je vous prie de m’excuser de cette innattention et vous remercie de vous soucier de moi. La chaleur a dut avoir raison d’un peu de mon énergie, ça ne se reproduira pas. »

Elle s’était inclinée très poliment. Y’avais ce qu’il fallait de sincérité et de bienséance. Comme toujours. Elle se redressa, sa mémoire en marche. Qu’est-ce que ses yeux avaient-ils vu la dernière fois qu’ils s’étaient croisés ?

Des cigarettes.

    « Vous prenez la même marque que la dernière fois ? »

Elle s’était déjà un peu tournée pour aller les chercher. Son sourire avait été formaté ; mais elle lui avait quand même servit, un peu plus allongé que le premier. Histoire qu’il n’insiste pas, qu’est-ce qu’il avait à fouiner ?

Prends tes clopes et du vent.


Fyodor
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Fyodor
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Ton sourire chaleureux grandit, lorsqu’elle pose ses yeux froids et inanimés sur toi, Tandis que ton être sourit et frémit de plaisir malsain sous ton masque face au regard vide, froid et sans vie.

Tu aimais ce regard sans vie digne d’un cadavre, ça lui donner un côté de poupée fragile quand pourrait briser d’un geste ou en quelques mots, ça titillait un peu ton sadisme. Elle te donnait plus l’impression qu’elle était en suspens coupée au monde réel et pourtant.

Tu conclues une introvertie ne cherchant pas à savoir plus après tout tu n’en tirerais rien d’avantageux.

Tu l’écoutes attentivement ne la lâchant pas des yeux, montrant que tu es à l’écoute. Vous n’aviez jamais changé plus que la politesse habituer entre un employé et un client. Tu ne connais rien sur la jeune femme, elle ne t’avait jamais intéressé, beaucoup trop banal pour s’amuser. Au moins elle était une bonne employée, malgré quel manquer de charme, juste si elle était moins blazer et plus souriante, le chiffre d’affaires augmenterait en flèche. Voilà l’homme d’affaires qui parle, tu ne pouvais pas t’empêcher d’analyser les gens.

Tu n’aimais pas les gens illisibles, ça les rendez imprévisibles et tu détestais ça ! Mais ça passe, elle ne constituait pas une menace. L’idée qu’elle puisse faire partie d’Omega ne t’avait pas traversé l’esprit après tout, tu la crois juste banale et introvertie rien d’alarmant selon toi. Elle était naturelle ça lui donné un avantage. Que ferais-tu ou qu’aurais-tu fait si tu avais su que la gestionnaire du marché noir était sous tes yeux ?

L’individu que peu de personnes connaissaient l’identité. La personne que tu n’arrivais pas à trouver malgré tes recherches, savoir qui tenait le marché était important pour toi étant donné que tu revendais au marché noir les organes de tes cibles et victimes, toute occasion était bonne pour faire du profil.

-Oui, s’il vous plaît, la même marque. Dis-tu en lui rendant son sourire par politesse et légèrement gêner de l’avoir importuné.

Alors qu’elle se tourne totalement pour chercher les cigarettes, tu en profites pour mater ses hanches et son postérieur sans être remarqué par un rapide coup d’œil…Potable, heureusement que son mignon minois rattraper le reste notamment son manque de poitrine.

-Excusez-moi, je reviens.

Tu t’excuses à la demoiselle avant de marché jusqu’au rayon  boisson non loin de la caisse, gardon ton sourire et les mains dans les poches. Tes iris bleu roi détaille les boissons ne sachant là qu'elle choisir, tu prends la première dans le rayon avant de rebrousser le chemin.

-je suis désolé de vous avoir importuné. Je trouvais juste dommage que vous tirez cette tranche. Vous êtes bien plus mignonne quand vous sourirez. Tu dis ça en te grattant l’arrière de la tête dans un sourire contri montrant une certaine gêne avant de reprendre calmement. Vous avez le droit de vous sentir mal, penser juste à vous réhydrater et à vous ménager, on n'a qu’une santé, c’est important d’en prendre soin et la préserver. Fis-tu posant la petite canette de jus goût pêche.

Au fond ça ne serait pas une perte s’il lui arrivait quelque chose, mais bon.
Rinne
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Rinne
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    Jeudi 13 Juillet 2017


Dénouement

    Son regard a quelque chose de perçant.
    Il ne te rappelle pas exactement cette personne ; Mais il te l’évoque, et avec, les désagréables ressentiments ; l’amertume éternelle.
    Tu n’es pas d’humeur aux tourments ; et le voilà qui virevolte comme un insecte impatient : papillonnant dans toute sa grâce et toute sa hauteur.

Rinne se demande vaguement ce qui lui prends, à son client. Ce jeune homme est un habitué ; elle l’a déjà côtoyé plusieurs fois et jamais leurs phrases ne se sont risquées à contenir autre chose que des formalités. Ce soir, dans la moiteur de l’été, il y a de la curiosité.

Rinne sent que son dos lui brule d’un regard qui insiste. Elle fronce les sourcils ; sans personne pour contempler son mécontentement. Seuls les paquets rectangulaires de sucettes au tabac. Sa main se saisit machinalement du paquet : ses yeux connaissent l’organisation du stand dans toute sa largeur. Tandis qu’elle se retourne ; la voix du garçon file pour annoncer qu’il s’éloigne. Rinne patiente. Il n’y a pas trop de clients : ça ne dérangera personne.

Mais tout de même ; l’action a quelque chose d’inhabituel.

Ce garçon est irritant. Du bleu perçant de ses yeux – incroyables – au sourire éternel qui modèle son visage. Elle aimerait gratter ces gencives pour voir ce qu’on peut y trouver. Une envie ardente qu’elle balaye de sa lassitude et de sa prudence habituelle.

« Vous êtes bien plus mignonne quand vous souriez. ». Ah.

Le rose monte aux joues. Rinne, si maladroite face aux banalités de l’existence. Il lui donne des conseils pour entretenir sa santé ; et Rinne les écoute sans vraiment les entendre, accumulation de sons qui forment de drôles de sonorités. Lorsque la canette est posée sur le comptoir, le bruit mat reconnecte l’informaticienne avec le cours du monde. Elle acquiesce d’un hochement de tête poli, et se saisit des objets qu’elle scanne. Ses yeux brillent un peu, d’un trouble pas bien définit. Elle observe la pêche emblématique sur l’emballage d’aluminium ; presque envieuse. Bientôt, elle prendra sa pause et en sirotera une.

    « Cela fait un total de 650 yens s’il-vous-plait. »

C’est au tour de ses deux billes couleurs corbeaux de s’accrocher aux faciès du garçon.

    « Je vous remercie de votre attention. »

Et sa main glisse un des paquets de Crunkys entassé en réserve sous le comptoir.

    « Si vous avez vous aussi un coup de fatigue, il n’y a rien de plus réconfortant qu’un Crunkys. »

L’affirmation irradie son visage qui se fend d’un sourire sincère et enfantin. La rosée matinale ayant sertit ses pommettes se dilue peu à peu dans l’aube de ce qui serait, presque, de la sympathie. Mais ces états transitoires, entre l’irritation, la gêne, l’émotion, et l’incertitude, Rinne a pour principe de les fuir. Elle n’aime pas le trouble ; elle n’aime pas l’inconnu. Alors puisse-t-il saisir de ses longs doigts les sucreries et son dû ; et disparaître à son tour dans la nuit,
comme toutes les ombres qui glissent sur le sol tokyoïte.


Fyodor
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Fyodor
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Qu’importe le temps, qu’importent les jours, tu ne changeais pas, toujours à chercher des problèmes, la petite bête pour importuner et embêter tes interlocuteurs et autrui sans que la faute te retombe dessus, mais là.
Tu l’avais cherché, tu l’avais trouvé.

Les yeux s’écarquillent à la vue de son sourire sincère et enfantin, les joues s’enflamment d’un rouge profond de surprise et d’étonnement, tu ne t’attendais pas un tel sourire d’une poupée. Voilà l'une des raisons que tu n’aimais pas les personnes imprévisibles, elles te tiraient parfois des réactions honnêtes, ne te donnant pas le temps de préparer ta future réaction calculée.

Déstabilisée, elle t’avait bien déstabilisé la garce avec son sourire.

Un sourire semblable au rayon du tendre soleil.
Un sourire sincère te rappelant un autre lointain,
Te désemparant faisant resurgir un goût,
Fortement acide à ton cœur noir.


- Vous êtes vraiment mignonne quand vous souriez. Ces mots que tu ne pensais pas il y a peu sorte de tes lèvres, collé à ton visage marqué par la surprise et la gêne totale. La... La boisson est pour vous. Dis-tu en posant le jus avec l’argent, évitant son regard. Je prends note pour les Crunkys... Vous pouvez garder la monnaie… Pour vous. Dis-tu prenant le sachet et quittant les lieux à pas rapide, grattons frénétiquement l’arrière de ton crâne les joues en feu.

-Sale garce. Marmonnes-tu avec mépris et agacement le front contre le volant.

Tu avais envie de le voir, de revoir Sayuri après quatre putains de mois d’abstinence, a causse de cette foutue caissière qui a réveillé un vieux souvenir ne voulant disparaître de ta mémoire à présent.  

image Un sourire sincère rappelant un autre lointain :

Tu grogne donnant un coup au volant, cherchant à oublier le souvenir.

-Fait chiez ! J’espère qu’elle s’étouffera avec ses Crunkys. Grognes-tu de colère mettant le contactes.

Coup foireux
Travaille bâclé
Humiliation
Effort m’y en danger
Quelle soirée bien merdique.
FIN



Tu as déstabilisé mon perso JPP XD. Tu peux clôturé ou RP et fermé ❤️
Rinne
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Rinne
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    Jeudi 13 Juillet 2017



Démembrement


    C’est beaucoup de surprise pour une simple actionPeu à peu l’enfant-femme réalise que le pouvoir des mots…Est parfois bien faible face à celui des choses.


Tu lui as offert un sourire, et quelque chose a volé en éclat. Ce n’est pas tant le récit des signes physiques ; les yeux qui s’ouvrent, les pupilles qui se dilatent. C’est d’une autre substance, d’un autre acabit ; comme une aura qui se tais, abruptement, un bruit de fond diffus qu’on avait oublié, et dont la soudaine absence met en lumière la présence passée.

Il y a un frottement indicible entre les deux individus qui se font face ; en proie à leurs propres sentiments, dé-contenus et déconcertants. Lorsqu’il te dit que tu es mignonne, Rinne, tes joues doivent se fondre dans le cramoisi du meuble juste à ta droite. Plusieurs semaines de labeur, d’entrevue rapide, et tout à coup, c’est comme si cet individu était là pour la première fois. Mais votre gêne et mutuelle, et malgré l’exclusivité intrigante de la scène qui se joue, Rinne n’a qu’une hâte : que cela cesse.

Elle vit le déroulé du dialogue comme un rêve à moitié agréable ; reconnaissante du geste, même de la monnaie, et à la fois pas certaine d’avoir bien suivit ce dont il s’agit. Le vacarme de la féraille est à l’image de leur échange : assourdissant tout en étant discret. Des contrastes qui ne font pas de sens.

Alors, lorsqu’il passe l’entrée, l’homme emporte avec lui une foule d’agitations confuses, entremêlées de chaleur et de douceurs qui lui semblent douloureuses tant elles sonnent inadaptées.

Rinne, tu ne te rappelles déjà plus son nom ni son prénom ; mais son visage de statue subitement mue de vie reste gravé dans ta tête. La seule preuve de votre échange intriguant est cette canette à la pêche ; que tu prends en souriant faiblement. Ton parfum préféré.


    Dans la quiétude de ce soir d’été Ce jus sucré à la particularité d’être aussi un peu amer Tu ne saurais l’expliquer.



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