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SCREAM | Utopie.
Utopie
SCREAM | Utopie. 1518617157-icon7
FT : 2B - Nier Automata
Âge : 26 ans
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Messages : 69
Utopie
D/5
nationalité(s) : Japonaise
origine(s) : Américaine

orientation sexuelle : Hétérosexuelle
situation maritale : Célibataire
situation financière : Aisée
job/étude : Médecin Légiste
rôle au sein du gang : Chef de la propagande

taille : 1m68
corpulence : Svelte
cheveux : Blanc
yeux : Bleu

force : ●  ●  ●  ●  ○
défense : ●  ●  ○  ○  ○
dextérité : ●  ●  ●  ●  ●
intelligence : ●  ●  ●  ○  ○
charisme : ●  ●  ○  ○  ○
social : ●  ○  ○  ○  ○  
1) Votre frigo est pratiquement vide, alors vous décidez de vous faire livrer quelque chose, que choisissez-vous ?
d. Un japonais classique, l'envie de saumon et de karaage vous chatouille le palais

2) Il fait moche et vous n'avez rien à faire, que décidez-vous ?
c. Avec flemme vous aller dans un bar pour boire un coup, histoire d’oublier vos soucis


3) Dans votre QG, une ambiance de mort règne et ça vous pèse, que faites-vous ?
d. Vous ragez à voix haute en gueulant un peu sur les gens, les âmes en peine vous foutent trop le bourdon

4) Vous apprenez que votre chef est en difficulté quelque part, comment réagissez-vous ?
d. Sans réfléchir, vous appelez le reste des troupes et foncez pour lui venir en aide

5) Vous devez vous débarrasser d'un témoin gênant - comment vous y prenez-vous ?
a. Sans prise de tête, vous le conduisez dans une ruelle pour lui coller une balle dans le crâne


6) Le videur d'une boîte de nuit dans laquelle vous devez régler vos comptes ne vous laisse pas entrer, que faite vous ?
b. Avec votre tchatche et votre charisme vous devenez limite ami avec lui, il vous laisse entrer sans soucis
ASUNA MAEDA
UTOPIE — 26 yo — FEMININ — EXODUS
CARACTÈRE Utopie a les jambes ancrées dans le sol, un sourire de douceur qui s'envole dans ses cheveux immaculé ; elle est une espèce d'antithèse, quelque chose de divinement humain, quelque part entre le réel et le mythique, entre l'acceptable et le fantastique. On ne sait pas trop comment l'aborder, Utopie. On la voit avenante, propre sur elle, neutre, imperturbable -peut-être qu'on n'a pas envie de briser sa sérénité. Alors oui, elle est calme. Elle a cette patience olympienne et cette manière de tout garder à l'intérieur de sa tête ; ses pupilles sont brillantes mais elles ne reflètent que le vide de ses réactions, ses constantes qu'elle garde à la surface de son visage -elle ressent, mais pas tellement ; elle n'a pas le calme d'un volcan, non, ni le grondement des orages, elle serait plutôt une pluie qui tombe à n'en plus s'arrêter, qui sanglote et qui inonde, qui avale tout par la force du temps, par la force des choses. Et les recrache de temps à autre, dans un torrent de violence.

On ne l'ébranle pas facilement, Utopie. Elle porte son sourire doux, celui qui redresse les zygomatiques le plus doucement possible, avec une infinie compréhension. Elle peut énerver, Utopie, à toujours chercher si sagement une solution quand les alarmes sonnent de tous côtés ; elle a cette manière de tout poser, de schématiser, d'analyser, de regarder de loin, d'avoir cette vue d'ensemble. Et puis on voit le vide dans ses yeux, ou peut-être pas d'ailleurs. Ce n'est pas tant qu'on ne devine pas ce qu'il y a derrière ses prunelles, c'est plutôt qu'on s'imagine que tout est vide, un peu mort, désertique. On sait, ou on devine, qu'elle a déjà vu beaucoup de choses, Utopie. Et c'est peut-être là son traumatisme. La raison de son calme olympien. La source même de son sang-froid. Les horreurs de la vie. La trahison. La solitude. L'abandon. Toutes ces choses futiles, brutal, qui traumatise une enfant. Qui touche là où même les plus grands n'ont jamais réussi à s'aventurer.

Et elle réfléchit à toute allure, elle actionne les parties de son cerveau dans une logique implacable. Elle est sûre d'elle, Utopie, alors quand elle parle, de sa voix aussi agréable que ses yeux, on l'écoute. Et on se rend compte que si le ton est de velours, les mots sont plus brut ; elle a confiance en ce qu'elle pense.  Alors elle a tendance à foncer tête baissée même si la mort se trouve au tournant, car au final elle a réfléchi à bien des plans de secours pour se sortir d'une éventuelle embuscade. Cependant elle n'aime pas avancer seule, Utopie. Non elle préfère être accompagnée. Et même si elle a du mal à écouter les autres, la présence d'autrui la rassure. C'est comme si la chaleur d'un groupe venait réchauffer cet intérieur trop peu visité. C'est sûrement là son pire ennemi et sa plus grande peur : la solitude.
HISTOIRE« Asuna, la récrée est terminée. » La jeune fille alors âgée de huit ans se leva la tête haute et déposa sur la table, au fond d'une cage, son seul jouet : une souris. Elle se rapprocha alors de sa mère en aggripant fermement le tissu de son vêtement entre ses fins doigts. Il devait y avoir un résultat, rien de ce qu'elle avait le droit de faire ou de dire n'était irréfléchi et avait toujours un but précis. « Ton père voudrais savoir si tu as trouvé le bon nombre cette fois-ci. » Asuna leva sa petite tête vers elle, et soupira fermement avant de secouer ses cheveux. « Elle n'est pas constante. Sa respiration varie de 70 à 115 inspirations et expirations par minute mère. » La jeune femme caressa doucement la joue de sa progéniture et esquissa un mince sourire. Fière. Moïra était fière de sa fille qui a seulement huit ans avait une capacité d'observation et une dextérité hors du commun. « Père ne l'a pas demandé mais, j'ai l'impression que sa température est la même que la mienne. » Madame Maeda prit la main de sa jeune fille pour la mener vers le bureau de son paternel. Asuna n'avait le droit de voir le médecin que quelques heures par jour, pour qu'il note son évolution au fil des jours. La jeune femme finie par s'accroupir face à Asuna après quelques minutes de marche rapide. « On réfléchis toujours, et précise, d'accord ? » La jeune fille hocha la tête et reçut en récompense une bise sur le centre de son front. Moïra frappe trois petits coups sur la porte, et laissa y pénétrer la jeune fille aux cheveux argentés.

« Tu peux venir ici Asuna. » Elle noua ses deux mains ensemble, ses doigts jouant les uns contre les autres à un rythme frénétique. Nerveuse. Asuna l'était toujours  pendant ces moments. De longues minutes qui ressemblaient plus à des heures. Le regard noir des pupilles de son père n'étaient pas celles d'un père, ou du moins pas celles de quelqu'un qui semble vous apprécier. Loin de là. C'était comme ci Asuna était une machine, une création divine servant une cause qui nous dépasse tous. Et lui le premier. « Alors ? Tu as perdu ta langue ? » La demoiselle essaya tant bien que mal de tenir la tête haute, et se posa sur un fauteil face à l'immense bureau de son père. Le silence était lourd. Presque mortel. Son père se leva et d'un pas lourd se positionna droit devant elle. « Il varie de 70 à 11... » Elle n'eut pas le temps de finir qu'elle reçut immédiatement une dizaine de phalanges sur la joue. Pas de pleure. Pas de crie. Aucune émotion. Un compte rond c'était tout ce dont il avait besoin. Mais elle avait un besoin presque inné de frôler la perfection, elle et ses calculs. « Donc ? Combien de respiration pour une souris de laboratoire ? » Asuna ravala sa salive et leva une dernière fois les yeux vers lui. « Elle varie de 70 a .. » Têtue. C'est sûrement son pire défaut, et le plus conséquent. Lorsque la demoiselle est sûre d'elle, de ses calculs, de ce qu'elle a appris et compris, elle ne relâche jamais, et encore moins sous la violence. « Moïra. Tu peux partir. » Asuna ne broncha pas. Moïra quant à elle essaya d'entre ouvrir la bouche, sa fille avait pu percevoir une tension entre les deux parents. « Je t'ai dis de partir. » Asuna tourna alors lentement son visage vers sa mère, et esquissa un sourire, une marque rougeâtre sur la joue. La matriarche de la famille claqua la porte derrière elle et ont pu entendre à travers la porte des injures en anglais, pays d'origine de sa mère. Il n'avait jamais fait l'effort d'apprendre la langue, à l'inverse Asuna et Moîra ne communiquait qu'en anglais lorsqu'elles avaient la chance d'être seules. La porte avait a peine eu le temps de se fermer qu'il porta une seconde fois sa main à sa joue. Puis une autre fois. Avant de retourner s'asseoir. Sans qu'elle ne bronche une seule fois, la punition aurait été bien pire. « Tes résultats sont mauvais Asuna. Nous n'arriverons jamais à notre but si tu t'obstines à vouloir me tenir tête. » On entendit derrière la porte un léger claquement de doigt, puis deux frappes. Et c'est ainsi qu'une domestique de la famille fit son apparition, avec la souris fétiche d'Asuna. Elle n'était pas dans sa cage, ni dans ses bras, ni dans quelque chose de doux pour la protéger du froid hivernale qui frappait alors le Japon. Non. Tout aurait été si facile, si calme. Asuna aperçut alors l'animal attaché par ses quatre membres à un plateau de métal. Cette souris était sa seule compagnie. La seule chose qu'elle pouvait toucher et câliner sans être réprimander. La jeune fille lança alors à son père un regard noir qui, sans broncher, fit un geste à la domestique pour qu'elle apporte le reste de l'artillerie à la demoiselle. « D'après-toi, combien de temps met une souris à mourir en se vidant de son sang ? » Asuna ne répondit pas. Elle resta muette, le regard vide et le coeur froid. La demoiselle baissa sa tête et se mit à respirer plus fort que d'habitude, sans jamais alarmer son père. « Au vu de son gabarit je pense qu'une heure devrais suffire ci ce n'est moins.  Nous allons étudier l'anatomie de cet animal. » Asuna se leva, ses mains liées entre elles, rentrant ses ongles dans sa propre chair. « Je n'ai pas besoin d'ouvrir cet animal pour en connaître l'anatomie père. Puis-je la détacher ? S'il vous plaît. » Irumi se leva dans un long soupire avant de saisir la main de sa fille, la munir d'un scalpel, et de lui même guider sa fille jusqu'à la gorge du pauvre animal, qu'il trancha en prenant soin de ne pas faire de blessure mortelle. « La prochaine fois, tu sauras être précise. Tu peux disposer. » Miss Maeda lâcha le scalpel sur l'animal qui gisait dans son propre sang. Et fit marche arrière pour se rendre dans sa chambre, bousculant nonchalamment la domestique.

Le temps passa et les années se succédèrent tout en se ressemblant. La violence de son père fût de plus en plus intense et son esprit de contradiction également. Elle n'était dorénavant plus la jeune fille de huit ans et cède à la tentation de trancher ou d'ôter la vie. Asuna est plus proche des morts que des vivants. Miss Maeda redonne une seconde vie aux morts, en faisant parler ces derniers. « Il est temps Asuna. » Elle était là. Devant ce cadavre encore chaud, ses longs cheveux couleur ténébère détachés jusqu'aux courbes de ses hanches. Moïra Maeda avait donné son dernier souffle et sa propre fille, Asuna était le parfait médecin pour s'occuper des investigations selon son père. Il était là devant elle, le visage comme à son habitude inexpressif. Il ne savait pas de quoi était morte sa femme. Elle qui d'habitude se portait très bien, était subitement décédée sans préavis. « Tu peux partir. » Asuna leva les yeux vers son père, d'un air anéantis et colérique. Elle n'avait jamais parlé sur un tel ton à celui qui se faisait son bourreau. Mais les circonstances étaient toutes autres. Sa seule raison de vivre et de résister venait de rendre son dernier souffle dans des circonstances quelques peu douteuses. Et ses capacités pouvaient lui permettre de clairement déceler une part trop grande de mensonge dans l'air. Alors qu'elle craignait de se faire reprendre pour la énième fois, il hocha la tête et parti sans dire le moindre mot. Il acquiesça en silence et ne se fit pas prier. La demoiselle attendit quelques instances avant afin d'être certaine d'être seule, avec sa mère. « Je suis tellement désolée ... » Elle prit une chaise et posa sa tête sur la paume de sa main avant d'éclater en sanglot. On lui avait arracher la seule chose au monde, la seule personne capable de tenir intact ce corps pourtant si frêle. Asuna savait pertinemment que si il ne pouvait pas poser sa main sur sa fille, il le faisait en silence sur sa femme. « Tellement désolée maman ... »   Asuna se redressa avant de sécher ses larmes. Elle devait être assez minutieuse pour ne pas abîmer ce corps qu'il l'a tant chérie durant toutes ces années. La médecin légiste avait l'habitude de ce genre de travail, découper, analyser, recoudre. C'était devenu presque anodin pour elle, un mécanisme primaire pour son corps. Asuna agissait comme un robot formater à découvrir la vérité, à faire parler les morts et surtout les comprendre, les écouter. Les chérir car elle ne sait comment s'y prendre avec les vivants. C'est bien lentement qu'Asuna glissa par ci et par là la lame tranchante d'un scalpel gravée de ses initiales. Ses mouvements étaient parfaitement contrôlés, la dextérité de ses gestes étaient parfait. Les heures passèrent et Asuna était toujours là, devant le corps devenue froid de sa défunte mère. Les yeux vitreux. Le teint blafard.  Elle arriva au point le plus précieux et le plus méticuleux de son travail. L'analyse même d'une raison de vivre. Le cœur. Asuna le prit délicatement en main pour le plonger dans un bain de formol. Comme le reste de ses organes. Il était impensable pour elle d'être séparée rien qu'un instant de sa mère.

Plus tard dans la soirée, après s'être occupée de faire briller le visage de sa mère une dernière fois, Asuna se mit en route vers le bureau de son père. D'un pas lourd et certain le bruit de ses talons résonnaient entre les couloirs. Ce bruit sanglant et peu rassurant se rapprochait du but. . « J'ai terminé. » Il leva les yeux vers sa fille et lui fit signe de se rapprocher du fauteuil.  Elle n'avança cependant pas, restant droite à l'entrée du bureau, son visage entièrement fermé. Asuna n'avait aucunement envie de déblatérer plus longtemps avec lui, sa seule raison de rester calme et sereine n'étant plus à ses côtés,  ni même aux côtés des autres vivants. . « Tu n'avances pas ? » Asuna ne réfléchit pas plus de deux secondes avant de lever son visage et de dévoiler un visage rougeâtre et un regard vide. Avant de faire glisser le long de son bras un scalpel, et de le faire voler l'objet en direction du visage de son père. Le sang se mit rapidement à couler tandis qu'on pouvait voir la lame du scalpel planté sur un cadre au mur.  Irumi se leva après avoir porté un mouchoir à la plaie située sur sa joue. « Tu as été plus patiente que je ne l'aurais jamais imaginé. » Il récupéra le scalpel du mur et l'essuya lentement. Pendant qu'Asuna était là, dressée face à lui sans broncher. « Tu aurais dû me tuer, Asuna. » Il se rapprocha dangereusement d'elle et fit glisser un de ses doigts ensanglanté de sa paupière jusqu'à ses lèvres. « Mais je vais remédier à ce problème. »  Irumi colla lentement la paume de sa main sur sa bouche, laissant Asuna tremblotante, décontenancée et en larme.

« Je vous présente ma fille Maeda Asuna. A la dextérité qui n'a d'égal que la blancheur pure de sa chevelure. Ne vous y méprenez pas, la jeune femme que vous avez ici a été élevé avec soin dans le seul but d'être votre pire cauchemars. Asuna souffre peut-être d'une désinhibition frontale de part la transparence de ses ressentis.  Ma fille n'est spécialement forte physiquement elle n'en a à priori pas le besoin. Cependant ne l'a laissé jamais avoir ne serais-ce qu'un instrument médical ou bien-même une lame de rasoir entre ses mains. Quelques un y ont perdu quelques membres, certains des organes vitaux. Je ne l'ai pas élevé dans le but d'être une femme à mariée, je l'ai élevé dans l'optique qu'elle soit frustrée  et vide. »
TOIft. 2B / Nier:Automata
Eh.
Lapin.
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Invité
Bienvenuuuue ♥️

J'ai hate de voir comment un médecin légiste peut évoluer au sein d'un gang, parce qu'après tout, ce sont les meilleurs médecins qui font les pires tueurs/trafiquants :3

Au plaisir de rp et d'avoir un lien avec ton perso 8D ♥️
Jibûn
Oui.
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Jibûn
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Utopie
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Utopie
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Merci mon beau chaton Embarassed
Et Jibûn, j'aurais pas dis mieux. Cool
Fyodor
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Fyodor
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SCREAM | Utopie. 3170418002 Bienvenue Utopi(a)

SCREAM | Utopie. 1206242735 bonne continuation pour ta fiche hâte de lire.

SCREAM | Utopie. 1214026541 Gros bisous.~❤️
Utopie
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Utopie
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Oh c'est gentil ça Fyodor SCREAM | Utopie. 1214026541
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bonjour
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S/0
Utopie la cutieBienvenue sur Rift Utopie ! SCREAM | Utopie. 2386599915

Fiche quelque peu vide, c'est dommage, j'ai hâte d'en savoir plus (et je suppose que tu attendais ton ratio pour commencer ta fiche, du coup je ne te fais pas patienter plus longtemps !)
Le père fouettard à décider de t'envoyer à EXODUS !
Félicitations SCREAM | Utopie. 4169325468

Tu as désormais toutes les cartes en main pour ton personnage ! SCREAM | Utopie. 2386599915
Fyodor
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Fyodor
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SCREAM | Utopie. 3170418002 trop plaisir une nouvelle

SCREAM | Utopie. 1206242735 Si tu veux après un lien n'hésite pas~❤️

ಠ_ಠ il est méchant mon perso d'avance SCREAM | Utopie. 3754624134 mais j'ai mon DC (Bookman) si tu veux un lien.

SCREAM | Utopie. 1214026541 gros bisous.
Utopie
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Utopie
D/5
MERCI BOSS. ♥️ D'ailleurs patron, est-ce possible d'être au commande de la propagande, tout en ayant un travail à côté ? Sinon j'me met à fond dans mon rôle au sein du gang eh.
Avec joie Fyo, même pas peur d'un méchant (surtout quand on l'est aussi) SCREAM | Utopie. 4049668423
Fahrenheit
bonjour
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S/0
Oh douce utopieNier Automata  SCREAM | Utopie. 2715238403
Et puis 2B quoi SCREAM | Utopie. 2715238403
Et puis cette manière d'écrire  SCREAM | Utopie. 2715238403
On en parle ? On en parle !

Je suis heureux de voir qu'Exodus a enfin son chef de la propagande. Et quel chef de la propagande. Je l'imagine parfaitement faire de la publicité pour son gang et accueillir ceux qui veulent rejoindre Exodus à bras ouverts.

Asuna à ce côté tellement calme et doux que ça en devient gênant voire agaçant comme tu l'écris si bien. On dirait que rien ne peut la perturber ou la troubler. C'est la force tranquille d'Exodus, le calme féminin, une des rares qui analyse et réfléchit avant d'agir dans ce gang de brute. Asuna détonne au sein d'Exodus pour ça. Et en même temps pas tant que ça puisqu'il lui arrive de foncer dans le tas, sûr de sa force et de ses plans, ce qui ressemble beaucoup plus au mode opératoire de son gang. Ce qui m'intrigue c'est ce besoin de compagnie, cette peur d'être seule, car au vue de ces capacités elle n'a pas l'air d'avoir besoin de quelqu'un pour avancer dans la vie. Je me demande comment les autres membres de gang vont réagir à cela, parce que chez  Exodus l'autonomie est une obligation et l'esprit d'équipe n'est pas toujours présent. Une évolution intéressante en perspective je pense pour Asuna 8D

La relation avec son père est centrale dans le développement de la jeune fille. Bien qu'elle soit proche de sa mère, c'est lui qui prend le plus de place dans l'histoire, c'est celui qui la façonne. Il me fait penser à ces médecins effrayants, avec leurs blouses blanches, leurs calvities et leurs petites lunettes rondes. En tout cas c'est comme ça que je m'imagine le père d'Asuna. Le lien entre le père et la fille est très étrange et si au début j'avais l'impression qu'il n'y avait que de la haine entre les deux, je me dis finalement que le père doit admirer Asuna comme un créateur admire son oeuvre. Il ne semble pas l'aimer, en tout cas pas d'un amour parental classique. Mais si l'enfant est devenue le médecin légiste sans cœur, et sans âme presque, c'est grâce à lui, ou à cause de lui.

Ce qui est troublant c'est qu'on ne connait pas vraiment le ressenti d'Asuna à l'égard de son père. On comprend qu'elle le déteste mais à aucun moment elle ne semble regretter sa vie, comme si elle était inconsciente de ce que devrait être une enfance normale. Son rapport aux autres n'en sera que plus intéressant car presque déshumanisé. Son rôle de chef de la propagande lui va bien. Elle est capable de gérer des membres d'autres gangs voulant rejoindre Exodus sans état d'âme, et sa capacité à analyser les personnes est un avantage certain. Pour le côté publicité du rôle, il y a aussi matière à créer quelques situations intéressantes, notamment avec son métier de médecin légiste. En tout cas je ne pense pas que conjuguer les deux soit problématique. Il faudra tout de même qu'elle laisse son job de côté à certains moments pour gérer le gang, mais tu verras ça au cours de tes rps.

Bref. Je vais m'arrêter là parce que ce post commence à devenir long XD Je file te valider. Encore une fois bienvenue sur RIFT et si tu as des questions n'hésite pas ♥️

Avant d'aller arpenter les rues de Tokyo, n'oublie pas de recenser ton avatar. Tu peux aussi faire ta fiche de liens et poster une demande de RP ou répondre à une demande déjà faite.

Amuse toi bien parmi nous ♥️


Utopie
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Utopie
D/5
J'suis à deux doigts de verser ma petite larme.
C'est trop de compliment pour moi, et surtout tu as bien compris qu'il y a bien des choses que je laisse dans l'ombre pour (sûrement ?) développer ça aux cours de mes prochaines rp.
J'suis contente d'avoir été comprise, que mon personnage soit compris et surtout, que ça te plaise.
Merci encore.
J'vous aime.
Fort.
♥️
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