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Tag tuvasmrendrechèvre sur R I F T OVvGIPUSujet: scared to be lonely ☾ (crescendo)
Crescendo

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Rechercher dans: Ruelle sombre   Tag tuvasmrendrechèvre sur R I F T EmptySujet: scared to be lonely ☾ (crescendo)    Tag tuvasmrendrechèvre sur R I F T EmptyLun 12 Fév - 14:17
I SAW THE ( ONE THING ) THAT I WANT ( BEHIND ME )
musique — Beauté incomparable qui pourrait lui faire passer l'arme à gauche ((mais qu'il ne comprend pas parce qu'il ne fait pas dans la sociabilité)), il reste là, un sourcil arqué de surprise à ta question. Biscuit. Tu es un monstre de cruauté recouvert de volupté qui est capable en une fraction de secondes de l'étouffer, d'le faire crever. Il reste là, le bras autour de ton épaule, un peu perdu et clairement désemparé, la salive qu'il essaye d'avaler à un goût un peu amer et il ne peut s'empêcher de racler le fond de sa trachée ; parce qu'il y a quelque chose qui est clairement coincé et qui ne passe pas. Alors Crescendo détourne le regard, un peu gêné ((mais qu'est-ce que la gêne en fait?)) Cherchant quoi dire, ou encore quoi faire face à toi. C'est étrange, un peu déconcertant, il est comme un enfant en ta présence ; comme le gars paumé qu'il est vraiment ; avec toi, il n'y a pas vraiment de faux semblant ((juste une curiosité grandissante et incessante.)) T'es belle Biscuit, y'a rien à dire sur ça et il n'y a même pas nier ce qui est inévitable ; mais la vérité, c'est que t'es chiante, il ne ment pas là-dessus également ((parce que tu lui fais vivre ce qu'il ne comprend pas, ce qu'il ne 'sait' pas)) et ça le terrifie Crescendo... C'est bien la première fois qu'il ressent un truc comme ça. Tu le soulèves et le jeune homme t'aide comme il le peut, avec sa force restante malgré le tremblement de ses jambes ; il a prit cher et c'était pas prévu dans l'équation ; ça commence à faire un peu trop de répétition du genre pour les dernières semaines.

Son regard azuré se porte sur les environs, se perdant sur la ruelle, sur l'écho qui raisonne au loin ; la police n'est pas là et ne semble pas s'approcher. Il amorce un pas, mais manque de se rétamer et de t'emporter dans sa chute... Autant qu'il ne fasse rien, que tu le guides vu son manque cruel d'équilibre. Tu souris et l'écoute de ta voix le fait frémir, Crescendo le sent, il le sait, il voit la merde arriver, il sent que tu vas lui demander 'laisse-moi dormir avec toi cette nuit. enfin, rester avec toi ce soir.' Il l'avait vu venir, de loin, c'était obligatoire venant de ta part Biscuit, madame Irma lui a clairement envoyé des signaux. Une main devant sa gueule pour cacher ses rougeurs ((déjà dissimuler par de nombreux pansements)) Crescendo lâche sur un ton sec ((juste pour faire genre qu'il contrôle la situation.)) « Ne t'en fais pas, je savais que t'allais m'le demander et je te l'ai déjà dis alors me le fait pas répéter... Je peux pas te dire non. » Il se trahit à chaque fois Crescendo, de façon malhabile ; lui qui se veut normalement si intelligent, avec toi, agit comme un gros débile. Tu joues avec sa personne, il le sait, il le sent, ça t'amuse de le torturer et de le voir dans cet état en ta présence ; c'est pourquoi tu es cruelle Biscuit. Et le pire dans tout ça, c'est que Crescendo ne t'en veux pas, qu'il accepte et se plonge corps et âme dans cette merde, sans réfléchir ni même le comprendre. C'est fou ce que l'être humain peut être con quand il s'y met. Tu l'attire à ta suite et Crescendo tente de marcher sans broncher, mais c'est dur de ne pas râler de douleur ; ses cottes émettent des bruits peu plaisant, sa vision est un peu brouillé, son souffle un brin saccadé ; il lui faut s'appuyer un peu plus sur toi pour ne pas qu'il perde totalement pied.

Vous avancez, à votre rythme, dans cette ruelle qui sent la mort dans laquelle il s'est échoué après avoir trop couru, après avoir sprinter pour sa vie ; et tu lui demandes comment s'est arrivé, avec cette intonation adorable qui n'appartiens qu'à toi ; une sorte de mélodie qui l'enivre et qui le perd un peu plus dans un monde de douceur qu'il n'a jamais vraiment côtoyé. D'un revers de manche sur son front, passant sa main libre dans sa tignasse blanche pour la redresser, le jeune homme cherche ses mots. Comment expliquer cela de façon clair et concise, sans partir trop loin... ? Pour ne pas t'effrayer ? S'il y a bien quelque chose que Crescendo redoute en cet instant, c'est que tu te mettes à avoir peur de lui, de ce qu'il est... Mais te mentir ? Bizarrement, ça lui semble impossible. Alors il baisse les yeux, marchant doucement, attrapant avec difficulté une cigarette dans sa poche, te demandant ton aide pour le briquet ; les phalanges trop détruites pour jouer avec la pierre. « Je crois que... J'ai tué un homme. » Et il lâcha ça, sans froncer les sourcils, mais avec une pointe de regret dans le fond de ses prunelles qui brillent ; Crescendo ne sait pas ce qu'il a fait, il ne sait pas comment, juste que la rage et la colère l'ont aveuglé et qu'il a cogner, cogner, sans s'arrêter ; il avait même oublié qu'il frappait... « Je l'ai vu frapper cette femme dans cette ruelle et j'ai juste... Foncé. J'ai pas réfléchis. La colère m'a aveuglée. J'ai vu rouge... Ou blanc. Même ça je ne saurais te dire... Et j'sais pas. J'crois qu'il est mort. J'en sais rien en fait. » Et il tremble en y repensant, car Crescendo n'est pas du genre violent, non, en tout cas, pas gratuitement et que quand il y est contraint. Ce n'est pas ce qu'il souhaite devenir, ce n'est pas ce à quoi il aspire. Et la fumée quitte ses lippes alors qu'il s'arrête, posant son front sur ton épaule en se baissant, laissant sortir les mots sans qu'il ne puisse les contrôler. « N'ai pas peur de moi s'il te plaît. »

Implorer quelqu'un ? Depuis quand Crescendo ? Et pourquoi ? Il ne sait pas, il ne tourne pas rond en ta présence. T'es quelqu'un d'effrayante dans ton genre Biscuit, il sait très bien Crescendo que tu en as conscience. Et il tremble encore, les nerfs ne fonctionnent plus comme ils le devraient, il perd un peu la tête ; sans doute à cause des coups qu'il a prit et qu'avec l'adrénaline, il n'a même pas senti. Avec tout ça, le jeune estropié en a oublié ta question ; la direction. Il lui faut relever la tête, quitter ton épaule et la naissance de ta nuque, oublier de s'abreuver de ta douce odeur pour se confronter de nouveau à celle de la mort de cette ruelle pour te guider. « J'ai mon appartement qui n'est pas loin. Tu vas tout droit pour le moment et après faut tourner à gauche... J'crois que mes clés sont dans ma poche arrière, mais j'suis pas sûr... Et attend, c'est pas la première fois que tu viens chez moi, tu te rappelles plus du chemin ? » Son ton est rieur, il est un peu plus détendu, malgré le stresse, malgré sa peur ; il espère dans au plus profond de son cœur, que l'homme est juste coincé dans une torpeur... ((Il prie intérieurement Crescendo « Ne meurt pas p'tain d'connard.))

BEAUTIFUL // with biscuit // p.2 // #tuvasmrendrechèvre //
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