| s t r a n g e r s | ft. tora FT : malek solh | eerie crests
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Icarus strangers t'as cassé ton téléphone tu sais pas trop comment juste que un matin tu t'es levé et y'avait plus rien qui fonctionnait t'as essayé de l'éteindre d'le rallumer d'le frapper de faire n'importe quoi mais c'est mort t'as besoin d'ton téléphone pour bosser, faut qu'tu sois joignable du coup t'es ici. t'es arrivé t'as fumé une clope dehors puis t'es entré, tu t'es assis à une table et maintenant t'attends. t'as pas beaucoup causé avec la personne qu'est sensée t'aider mais t'assumes qu'c'est pas une mauvaise personne comme elle propose ses services comme ça à des étrangers tu t'inquiètes pas tu poses ton téléphone sur la table et tu tapotes dessus du bout des doigts t'as l'réflexe de vérifier l'heure mais quand t'appuies sur le bouton y'a rien qui s'allume alors tu continues juste de tapoter l'écran tap tap tap tu fumerais bien pour t'occuper les mains mais tu veux pas sortir alors tu t'contentes de pianoter. tap tap tap. quelqu'un passe le pas d'la porte, tu reportes ton attention vos regards se rencontrent tu bouges pas t'attends.
FT : yamagishi yukako
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Hondo Tora
Un sursaut, une panique, une détresse ont accompagné ton réveil—un bref instant de crise dû à une incapacité cérébrale de se retrouver dans un espace inconnu—le corps cloué dans le lit que t’as délaissé. Ton sommeil fût long, dix heures, onze heures pour varier des insomnies et des maigres heures qu’offre le siège de ta chaise de bureau. Un anéantissement, la limite de ta prison organique avait due être atteinte. Alors tout en toi est déboussolé parce qu’une hygiène de vie saine, ton esprit l’a désapprise. Il est rare que ce soit la matinée qui t’accueille, l’inverse est ta norme.
L’éveil passe, café clope, te revoilà face à tes écrans. Une requête pour réparer un téléphone, acceptée, rendez-vous en début d’après-midi. Un mail de la compagnie te mandatant, mécontents du manque de commentaires dans les codes. Une réponse polie et formelle est renvoyée, mais t’aimerais leur dire d’aller se faire foutre, pour des modifications à leur convenance il y a wordpress. Midi, tu frappes enter, un appel à la compagnie, remerciements.
Ton appartement n’est pas un espace de vie. Nu de meubles et de décorations, il s’apparente plutôt à une quincaillerie, un magasin de pièces détachées, un Disneyland de l’électronique. La notice du modèle, le plan de fabrication, les composants, une lampe, une loupe, des câbles, une boîte d’outils, un ordinateur portable—tu quittes ton domicile. Sept minutes de marche, le café apparaît, tu pousses la porte. Loin des thématiques maid et relatives à la culture otaku, l'endroit est prisé par les étudiants désespérés de boucler un papier, des amateurs soucieux de percer dans l'industrie de l'animation ou du jeu vidéo.
Anomalie au milieu des habitués, rencontre visuelle, échange de formalités et de politesse, tu t’assieds. — Votre message mentionne que votre téléphone ne s’allume plus, sans raison. Aucun choc récemment ? Comme une chute ou un cognement. Le client semble peu loquace ; tant mieux, tu préfères tes humains ainsi.
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Icarus strangers c'est elle. elle s'asseoit devant toi et tu te réajustes sur la chaise t'as les membres trop longs t'es trop grand c'est jamais confortable faut croire qu'toutes les chaises du japon ont été faites pour des gens plus p'tits qu'toi (ou qu't'es juste à l'aise nulle part) t'arrêtes pas de pianoter sur ton téléphone tu continues, distraitement, sans vraiment réaliser qu'tu le fais toujours ça fait juste tap tap tap, silencieusement t'essaies de te rappeler un moment où t'aurais pu l'échapper le cogner quelque part souvent faut qu'tu te mettes dans des positions impossibles pour retirer la crasse des endroits où personne d'autre passe mais tu te souviens pas d'avoir abîmé ton téléphone de cette façon t'es pas tombé, tu t'es pas cogné, rien tu prends quand même le temps d'réfléchir. on sait jamais, t'aurais pu oublier. mais tu finis par secouer la tête pour dire non « pas que j'me souvienne. » c'est pas comme si tu faisais quoi que ce soit de dangereux avec ta vie c'est pas ton travail ça, c'est celui des autres du bout des doigts, tu glisses l'appareil abîmé sur la table vers la femme devant toi tu t'souviens pas d'son nom tu penses qu'elle l'a jamais mentionné ça t'rends inconfortable de pas l'savoir mais en même temps tu veux pas lui d'mander, si elle te l'a pas dis c'est qu'elle doit avoir une raison ou p't'être qu'elle t'l'a dis, mais tu l'as oublié tu sais pas trop comment t'aurais fais mais t'écartes pas la possibilité. alors t'évites son regard, tu l'poses sur le mur t'attends comme un fantôme que quelque chose s'passe qu'la vie finisse d'te passer sous l'nez n'importe quoi.
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Hondo Tora
Ses actions ont le profil du stéréotype lié à ton quartier.
Le regard, jamais droit. L’attention, toujours déviée. L’inconfort, constant.
Le comportement des autres, tu le remarques aisément. Les humains sont simples à lire, compliqués à comprendre—mal formatés—et le client t’indiffère ; il n’est que l’extension organique de ce qui t’intéresse, le téléphone. La «réparation type» est de forcer le déclenchement en appuyant longuement et tu monnaies un manque de patience rongeant inutilement ton emploi du temps.
60 secondes. 120, 180, 240.
Aucune réponse ; tant mieux pour lui, il ne partira pas avec un air con.
— Je vais regarder si votre téléphone se connecte malgré tout à un périphérique. Il est possible que ce soit une erreur dans le système, dans le cas contraire il faudra l’ouvrir.
L’explication est laide, mais les subtilités des termes techniques ricochent dans les tympans des non-initiés en une langue alien, incompréhensible. C'est con, c'est le seul langage que t'apprécies parler—contrairement à celui des sentiments. T’es comme une tigermom, tu forces une union entre l’appareil et ton ordinateur, mais l’écran n’affiche aucun objet connecté. Comble du bonheur, t’aimes dévêtir les téléphones.
— Il va falloir l’ouvrir, c’est peut-être de l’obsolescence programmée ou un faux-contact. Il arrive parfois que le pourtour du téléphone se fasse endommager lors du processus. Si l’idée vous dérange, il faut aller chez votre opérateur ou dans un centre officiel de réparation.
Tu le regardes, fixement. T'attends cette réponse évidente. Quelque part, tu sais qu’il doit être en rade d’argent, ou de temps, ou que le téléphone ne lui appartient tout simplement pas ; sinon, il n'aurait pas besoin de tes services.
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Icarus strangers tu la regardes travailler dans l'plus grand silence tu tapotes tes doigts sur la table maintenant qu't'as plus le téléphone tap tap tap tap t'as l'impression qu'tu la dérange qu'elle aurait bien mieux à faire que de t'aider oui, tu la paies, mais y'en aurait bien qui la payeraient plus qui lui feraient la conversation qui lui donneraient plus que c'que tu fais là, avec tes membres trop longs et tes doigts qui pianotent toujours tap tap tap tap mais au moins si tu dis rien elle a pas à t'entendre tu la distrais pas et tu pourras arrêter d'lui faire perdre son temps plus tôt. « t'peux l'ouvrir. » bien sûr qu'elle peut l'ouvrir, t'es pas venu ici pour qu'elle y touche pas mais tu t'doutes qu'ya une raison pourquoi elle t'pose la question mais tu retournes sur tes doigts qui pianotent tap tap tap tap est-ce que tu devrais parler? est-ce que tu devrais partir? tu sais pas où t'mettre t'as envie d'filer sous les planches, elle perd son temps avec toi t'aurais dû jeter l'téléphone et en trouver un autre t'aurais dû essayer d'le réparer toi-même t'aurais dû juste pas l'briser, c'est simple il est cassé et maintenant tout le monde perd son temps sur toi t'as les gens qui essaient d'te joindre qui peuvent pas t'as elle, qui s'occupe d'ça en silence et t'as toi qui s'tiens ici et qui fait rien qui fait juste pianoter tap tap tap tap. t'es pas à l'aise d'avoir un étranger qui s'occupe d'te choses pour toi t'es pas à l'aise d'être ici, tu vois l'propriétaire du café il vous fixe vous avez rien acheté vous faites juste prendre d'la place mais il dit rien. p't'être qu'il sait qu'tu fais partie d'un gang tu vois pas pourquoi il vous laisserait faire sinon il a peur des représailles toi t'peux pas supporter d'faire perdre son temps à quelqu'un d'autre alors tu t'lèves tu pousses ta chaise derrière toi et tu t'diriges vers le comptoir tu commandes deux cafés, noirs parce que tu sais pas c'qu'elle met dedans puis tu les ramènes à la table toi tu détestes le café noir mais t'voulais pas qu'elle se sente seule et puis c'est la seule chose à laquelle t'as pensé alors tu bois une gorgée. c'est dégueulasse. mais tu t'fermes la gueule, tu t'rasseois et tu bois.
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Hondo Tora
Il te dit d’accord, mais il s’agite. T’as l’impression qu’il est tout petit, qu’il se fond dans le décor ; seulement le tapotement de ses doigts rappellent son existence. Il est bizarre, pas que tu t’octroies le droit de le juger. Il émane son malaise. C’est envahissant, c’est humain, c’est social paraît-il, un face-à-face sans conversation laisse inconfortable alors il a commandé des cafés. Noir et amer—comme toi—la chaleur du breuvage accentue sa saveur de chaussette. Cependant, l'attention est gentille alors tu as dit «merci».
Tes mains, elles, s’attèlent à ouvrir ce téléphone comme le ferait un chirurgien. Il faut de la douceur et de la patience au risque de sectionner les points vitaux, ajoutant une charge supplémentaire à ton travail. La lamelle en métal s’insère avec force dans l’espace étriqué laissé par les concepteurs puis dénude ses pourtours. Sésame, ouvre-toi. Quarante voleurs face à toi ; qu’importe te voilà Ali-Baba. Alors, t’en profites pour faire un peu de gentillesse, propre au système humain. Ta pincette pointe l’écran. — Ici, vous avez la caméra ainsi que ses fils La pincette part à droite pour tapoter légèrement le corps Et là, voici la couche protectrice Tu la soulèves pour révéler son anatomie Ainsi que l'hardware.
Tu scrutes. Le fond, la forme, tout. Alors, d’abord, tu as pris une autre gorgée de café puis t’as retiré quelque vis et, à nouveau, tu scrutes. — Le problème principal doit être la batterie, mais si vous le souhaitez, il est possible de mettre de nouveaux composants. Ça ne coûte pas grand chose de remplacer—du moins pas quand des lots de cents pièces sont commandés—et tu pourrais t’en tirer avec une coquette somme, mais faire grimper les factures t’indiffère. La valeur actuelle des smartphones n’est qu’à un tiers de ce que tu pourrais avoir d’ici trente ans. Tu rends service, ça payera ton dîner. A nouveau, t’essaies de sourire. — Comme ça, vous n’aurez pas à vous inquiéter de la longévité de votre téléphone.
hrp milles excuses pour cette réponse en retard (et de qualité discutable) ;; pleins de love sur cet awkward icarus, il fait fondre mon cœurs
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Icarus strangers tu prends une autre gorgée de café tu grimaces pas tu t'fermes la gueule tu avales et tu t'brûles la gorge. t'écoutes attentivement quand elle t'parle cette fille dont tu sais toujours pas le nom tu hoches la tête quand elle parle pour montrer qu'tu comprends qu'tu l'écoute même si y'a bien des oreilles plus intéressantes auxquelles parler qu'les tiennes le truc avec n'importe qui qui veut t'vendre un truc c'est qu't'es pas du genre à refuser même si t'as cinq cent yens dans tes poches et pas grand chose dans ton compte tu reçois ta paie demain et entre temps tu vas manger du riz et pas grand chose d'autre « je uh » tu t'grattes l'arrière de la nuque tu sais pas où t'mettre « j't'avoue que uh, j'ai pas vraiment l'argent » t'as utilisé à peu près les dernières de tes économies pour l'engager déjà tu prends une grande lampée de café pour t'occuper les mains tu déposes la tasse pour pas t'noyer « j'ai juste b'soin qu'il fonctionne à nouveau » t'aimerais vraiment savoir son nom tu sais toujours pas si tu l'as oublié ou elle l'a pas mentionné putain pourquoi tu peux pas t'cacher sous les planches tu t'noies dans l'amer dégueulasse avec ta langue et ta gorge brûlées
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Hondo Tora
Cette mégalopole rend esclave à l’argent et au crime ; en soi, ils vont de paire. La situation que vous partagez te ferait presque ressentir de l’empathie pour lui—mais sa jeunesse crève les yeux et la précarité a une saveur différente quand la trentaine s’amorce. Il t’arrive encore de l’avoir, ce pincement au cœur, lorsque tes prunelles rencontrent le tailleur impeccable des cadres stables, cet uniforme au parfum d’argent. Ils sont, comme la majorité de ta garde-robe plastifiée, une relique du passé. Jolis, désormais sans importance, le temps n’ira jamais en sens antihoraire, et t’intègres cette vérité avec amertume, comme tout adulte.
Alors, tu lui as répondu. — Ce n’est pas grave, je comprends. Seulement la batterie.
Et tu as repris une gorgée de ce café ignoble. Tu changerais bien d’endroit, mais le propriétaire ne t’a jamais payé pour l’installation de ce foutu wifi, donc tu le squattes. Ce sont les premiers mois de l’année, il a fallu payer les impôts, les assurances et t’en passes. Le pauvre, il ne sait pas ce qu’il l’attend. Il chialera devant sa fiche salaire qui n’a pas augmenté d’un zéro en cinq ans, il fera des heures supplémentaires et les «jours de repos» deviendront une notion abstraite. L’argent ne dort jamais, toi non plus.
Il a fallu ôter de minuscules vis, chacune variant en taille, se souvenir de leur emplacement avant d’accéder au cerveau de l’appareil. La pince extrait les bandes adhésives une à une jusqu’à ce que la batterie se retrouve dans ta paume et que tu la balances dans un sachet gavé de ses consœurs usées. Machinalement, tu exécutes cette affaire sans pensée particulière. Coller de nouvelles bandes, insérer une nouvelle batterie et, avant de vendre la peau de l’ours, essayer de la rallumer. Tu abaisses l’écran, le pouce pressé contre le bouton power, et un soulagement te prend lorsque le logo du téléphone s’illumine. Éteindre, revisser, presser la vitre contre le corps, entendre le son distinctif de leur unisson, rallumer et, avec délicatesse, reposer le meilleur ami de l’homme moderne face à son propriétaire. Le tout, en silence.
— Le café est déduit de la facture.
Cette fois-ci, tu as abandonné le sourire.
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Icarus strangers tap tap tap tap tap tap tap tap t'es reconnaissant qu'elle insiste pas alors tu lui donnes un p'tit sourire crochu, ça plie tes lèvres on dirait qu'ça devrait pas comme si t'essayais d'faire quelque chose d'impossible c'est p't'être toujours comme ça tu t'poses plus vraiment la question parce que ton sourire, tu sais pas si c'est c'lui d'ta mère alors tu vas t'contenter d'le massacrer qu'on puisse pas l'reconnaître. tu la regardes changer la batterie en silence tu continues tranquillement d'te brûler la gorge puis le miracle s'abat et tu vois qu'elle a réussi cette fille sans nom et quand elle repose le téléphone devant toi tu dis « merci » et quand elle rajoute qu'elle paiera le café tu t'grattes la nuque t'es gêné parc'que ça égalisait les choses tu paies le café pour t'sentir un peu moins mal d'pas savoir son nom mais tu t'battras pas non plus tu t'contentes de hocher la tête « ah, ok, merci » tu finis ton café d'une traite ça fait mal tu t'en remettras tu te lèves puis tu t'arrêtes à mi-mouvement un peu comme un pantin désarticulé les membres pliés la tête baissée comme si tu savais pas où la poser dans l'univers « je, uh » tu mets la main sur le téléphone « j'vous dois quelque chose pour la batterie? »
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Hondo Tora
Les outils repeuplent la boîte, un à un, retrouvant leur emplacement exact, l'ordinateur s'éteint et la table retrouve son apparence primaire—comme si aucun de vous deux n'était passé par là, seules les tasses maculées d'une tache brunâtre témoignent de votre présence.
Le client se lève. Le dos arqué, il forme une voûte par-dessus la table. Figé dans son manque d'assurance, il ressemblerait presque à ses statues étranges que les européens flanquent en haut de leurs églises.
À ton tour, tu abandonnes la chaise. Sauf que ta colonne, elle, aligne chaque vertèbres pour former une parfaite verticale ; il n'y a que le travail qui cambre tes épaules, invitant la scoliose si la posture se répète en dehors d'un siège. La douleur sévissant dans ta tête te suffit, pas le temps d'en contracter une physique.
— Le tarif pour un changement de batterie est de 3,000¥. En déduisant le café, 2,600.
D'un coup sec, tu tires les anses de tes sacs avant de les déposer sur la courbe de ton épaule. Des mèches de cheveux trop longues tombent et obstruent ta vue. Alors que le dos de ta main les écarte, d'une œillade t'aperçois les traits froncés du gérant—et t'assombris les tiens histoire de lui rappeler qui, ici, est en tord.
Enfoiré. tu te gardes de déclamer. Si tu n'avais pas un client en face de toi, quelques piques acerbes n'auraient pas manqué de ricocher jusqu'à ses oreilles.
Tu mords légèrement l'intérieur de ta joue, ton visage se nettoie de cet air agacé avant de reporter ton attention sur ton client. Ce serait embêtant qu'il profite d'un moment d'inattention de ta part pour se faire la malle.
hrp pardon du retard! la flemme de l'été m'a attrapée
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