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「insomnia」 (done)
Chiharu Sugimoto
(c) solosand
FT : shinsou hitoshi
Crédit : absinthe & hondo
Âge : 28
Habitation : shinjuku
Présentation : www
Fiche de liens : www
Autres comptes : aquamarine
Messages : 123
Chiharu Sugimoto
D/5
chiharu sugimotoft. shinsou hitoshi (bnha)(i need sentimentality as much as i need a hole in my head)
pseudo ; s'en tient à un sugimoto, ne répond ni aux surnoms, ni à son prénom (surtout pas à son prénom)
âge ; 28
sexe ; m
groupe ; alcatraz
nationalité(s) ; japonais
origine(s) ; toujours japonais

orientation sexuelle ; se cherche toujours (vu son âge, il ne se trouvera peut-être jamais)
situation maritale ; célibataire
situation financière ; en situation un peu difficile
job/étude ; sokaiya (+ usurier pour son gang)

taille ; 179
corpulence ; un peu maigrichon, mais il ne faut pas juger un livre à sa couverture
cheveux ; teints en violet, toujours en désordre
yeux ; lentilles de couleur de la même teinte
force
défense
dextérité
intelligence
charisme
social
● ○ ○ ○ ○
● ● ○ ○ ○
● ● ○ ○ ○
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● ● ● ● ●
● ● ● ● ○
1. Votre QG se fait attaquer par l'un des gangs adverses et votre chef est absent. Comment réagissez vous ?
c. Vous appelez le chef ou l'un des hauts gradés afin de les prévenir et this is sparta.

2. Votre chef vous donne l'ordre de prendre d'assaut l'un des territoires adverses, vous partez avec une fine équipe et ...
b. Votre intelligence, mais vous avez récupéré des mines avant de partir. On ne sait jamais.

3. Le chef tient un conseil et vous y êtes convié ; malheureusement vous êtes en désaccord avec lui. Que faites-vous ?
a.  Vous fermez votre gueule, le chef est la voix suprême.

4. Vous êtes en train de vous la couler douce, seul dans votre repère, que faites-vous ?
b. Vous ne faites rien de spécial, vous phaser sur chaque recoin de la pièce.

5. Vous subissez un interrogatoire après avoir foutu la merde en frappant un officier de police. Comment se passe l'interrogatoire ?
c. Vous faite semblant d'être muet, ça passe ou ça casse.

6. Comment voyez vous le gouvernement actuel ?
d. Vous vous méfiez et allez à la pêche aux infos. Après tout, on ne sait jamais ?
CARACTÈRE ;

D'aucuns considèrent que la loyauté est une qualité du cœur. Sugimoto Chiharu, lui, préfère penser qu'elle s'achète ; mais une fois acquise, cependant, c'est à la vie, à la mort. Sugimoto a vendu sa personne aux yakuzas ; ce choix, il n'y reviendra jamais. L'énigmatique usurier sort volontiers des chemins battus, il déconcerte, mais il s'est assuré que sa fiabilité ne fait l'objet d'aucun doute. D'ailleurs, Sugimoto ne reviendrait jamais sur sa parole, pour deux raisons. La première est très simple : c'est son fond de commerce - la promesse de le voir balancer à la face du Japon toutes les combines dans lesquelles vous avez trempé, et surtout la garantie de son silence lorsque vous obtempérez. La seconde est bien plus personnelle : trahir une parole, c'est une marque flagrante désordre. Un désordre qu'il ne peut supporter, bien que d'autres formes lui sont tout à fait tolérables.
C'est bien là, le problème, avec Sugimoto : il est contradictoire. Il a sa propre façon de fonctionner, ses propres sources de remords et ses préoccupations particulières. Sugimoto n'aime guère le chaos. Son environnement de travail est absolument dépouillé, ses dossiers rangés avec un soin méticuleux et classés dans un catalogue numérique qu'il consulte avant d'entreprendre toute recherche dans ses archives personnelles. Nulle décoration, nulle trace d'appropriation de l'espace. Sa tenue est toujours impeccable : costume sur mesure, trois pièces, paire de chaussures assortie et bien cirée, cravate coûteuse et parfaitement nouée, lorsqu'il travaille ; tenues un peu plus relâchées sinon, mais vous ne le verrez jamais revêtu d'habits aussi barbares qu'un sweat-shirt. Il ne sort jamais sans son carnet, dans lequel il consigne tout ce qui lui passe par la tête, et qui constitue sa bible personnelle : toute sa vie tourne autour de ces listes de note qu'il y a inscrites. Et puis, on lève les yeux vers son visage : son regard constamment fatigué, ses cheveux qui semblent n'avoir jamais vu un peigne de leur existence ; puis on ouvre un tiroir au hasard, et on découvre un joyeux capharnaüm dans lequel lui-même a peine à se repérer. Sugimoto est peut-être un bordélique qui lutte contre ses plus primaires instincts ; il contrôle beaucoup, mais jamais tout, se laisse une marge de manœuvre parce que non, il ne désire pas avoir une image trop lisse. Sugimoto sait faire preuve de spontanéité. Il s'en sert comme d'une arme visant à dérouter l'adversaire.
Il faut dire que Sugimoto est constamment en guerre. Contre quoi, contre qui, on a bien du mal à le concevoir. Peut-être est-ce contre le monde entier, qu'il cherche à rationaliser, avec beaucoup de peine. Sugimoto n'est pas un homme qui se laisse déborder par ses sentiments : il en a, il est humain, mais il a une fâcheuse tendance à purement et simplement les ignorer. Cela ne lui sert à rien, dit-il ; aussi les rejette-t-il. Sugimoto est un homme froid, et c'est ce qui le rend difficile à manipuler. C'est lui qui fait chanter les autres. Et il le fait surtout parce qu'il en a le pouvoir, et que cela rapporte. Sugimoto est peut-être dans le fond bien plus ambitieux qu'il ne veut bien l'admettre : il ne cesse de répéter qu'il sait très bien où est sa place, et qu'il ne désire guère outrepasser ses droits. Mais dans le fond, qu'est-ce qui le retient vraiment d'en demander plus ? Il aurait les moyens de devenir un homme bien plus puissant encore. Lui-même ne comprend pas ce qui l'empêche d'agir. Ce n'est pas la peur de la prison qui l'anime, bien qu'il n'y ait jamais mis les pieds ; il a entendu dire que là-bas, la discipline était militaire pour les gens comme lui, et il ne doute pas que cela ne lui poserait nul problème.
Sugimoto mène déjà une vie spartiate, après tout. Il a très peu de loisirs : il passe son temps libre à lire les journaux, les économistes, les sociologues, et à s'isoler dans un coin pour y réfléchir tranquillement. Sugimoto aime le calme : c'est là une de ses rares exigences. De la tranquillité, des cigarettes et un fauteuil confortable, voilà tout ce dont il a besoin. Il a bien compris, de toute façon, que plus on en demande, et plus on se rend esclave de ses désirs. Il trouve cela stupide ; mais il ne le critique pas ouvertement, après tout, c'est bien le désir qui alimente ses affaires.
HISTOIRE ;

Sugimoto reçut un sms de la part de son colocataire l'informant qu'il quittait l'appartement.
Un tsk déchira le silence. L'homme n'était pas vraiment satisfait de la nouvelle. S'il avait un colocataire, comprenez-vous, c'est bien pour une raison financière. Sugimoto n'avait pas les moyens de payer un loyer pour un logement de cette taille. Aussi, se faire aussi lâchement plaquer par son colocataire revenait à devoir prendre des mesures drastiques pour compenser la dépense supplémentaire. Puis qu'il ne pouvait rogner ni sur les dépenses alimentaires (qu'il partageait autrefois avec son colocataire), ni sur ses loisirs (il ne dépendait presque rien), il ne pouvait que limiter son budget cigarettes. Et cela, c'était ennuyeux, parce que Sugimoto n'avait pas la moindre intention d'arrêter de fumer.
Il n'aimait d'ailleurs guère cette ironie qui l'amenait à toucher à tant d'argent, mais qui ne faisait que lui filer entre les doigts. Il n'en appréciait jamais l'odeur et les regardait partir avec un léger pincement au cœur.
Alors, vu que la situation le dérangeait profondément, Sugimoto prit une décision radicale. Il sortit son carnet, et, à la règle, très proprement, il raya une ligne qu'il avait inscrite six ans auparavant. L'idée d'effacer six années de sa vie avec tant de facilité le déconcertait parfois, mais c'était pour le mieux. Sugimoto ne désirait plus parler à cet homme qui l'avait effacé de sa vie. Alors il l'effaçait de la sienne.
C'était vraiment pour le mieux.

L'argent était une préoccupation constante de Sugimoto. Après quelques débuts difficiles dans la spéculation immobilière, où il se gardait désormais bien de mettre les pieds, il s'était décidé à faire de l'argent sa priorité numéro un. Cette décision transparaissait dans l'appartement dénudé de Sugimoto : avec le départ de son colocataire disparaissaient les différentes marques d'ornement, la télévision 4K et la plupart des objets de valeur. Sugimoto vivait désormais dans un logement désuet, où il investissait le lieu de son habitude paradoxale : en ne vivant que dans une portion réduite, et en déniant au reste des pièces leur fonction usuelle, pour en fait des reléguats de sa conscience.
La chambre du colocataire était devenue un no man's land où Sugimoto déposait à l'occasion tout ce dont il ne voulait plus. Cette catégorie regroupait toute sorte d'objets : certains parce qu'ils était cassés, d'autres parce que Sugimoto avait perdu tout désir de les posséder. Mais, outre les déchets ménagers, vider ses propriétés à la poubelle lui posait un problème de poids. Cela irritait ses manières, dirait-il, car enfin toutes ces parts de son existence ne méritaient pas d'être totalement séparées de lui. Sugimoto se coupait plus facilement des gens que des choses matérielles. Autrefois, il limitait à une partie de son placard ces espaces de désordre qui juraient avec la règle spartiate qu'il tendait à s'imposer dans ses lieux de vie. Désormais, il n'avait plus ce scrupule.
Il en était contrarié : il n'appréciait guère de laisser le chaos occuper une place plus importante dans sa vie.
Mais cela traduisait bien, spatialement, de façon nettement visible, le désarroi que le départ du colocataire n'avait pas manqué de faire naître dans son esprit.

Sugimoto avait commencé comme sokaiya il y a quelques années. Il s'était infiltré dans les conseils d'administration des grandes entreprises, et profitant de sa position d'actionnaire, avait rapidement monopolisé la parole avec tant de brio que son jeune âge avait vite été éclipsé par son aplomb. Sugimoto, c'était une rhétorique impeccable, servie par une extraordinaire connaissance des mécanismes économiques et financiers, et une incroyable capacité à découvrir les secrets les mieux gardés des dirigeants d'entreprise. Si l'on souhaitait engager un maître chanteur qui ne reculait devant rien, il était votre homme. A vingt-huit ans, sa réputation n'était plus à faire.
La seule part d'ombre le concernait relevait de ses liens avec Alcatraz, que l'on soupçonnait moins ténus que ce qu'il affirmait. Son entrée dans la famille avait coïncidé de peu avec la dégradation de ses rapports avec son colocataire, lequel ne semblait guère réjoui de le voir se lier aussi étroitement avec la pègre. Pour Sugimoto, le choix avait été logique : la protection d'un gang éliminait une partie de ses problèmes les plus urgents, sa clientèle lui était assurée, et qui plus est, le clan pouvait lui fournir avec bien plus d'aisance toutes les informations dont il se servait comme moyen de pression. Quant à Alcatraz, ils s'assuraient les services d'un usurier largement compétent. Sugimoto était de ces gangsters modernes, qui passent bien plus de temps dans leur impeccable costume (et coûteux, faut-il le préciser) qu'à faire la loi dans la rue, arme à la main. On le respectait car il avait toujours les doigts sur le cordon de la bourse ; et au sein d'Alcatraz, il comptait très certainement au nombre de ceux qui rapportait le plus d'argent à la famille.
Et pourtant, sa pauvreté crevait les yeux. Quelques semaines après avoir été quitté par son colocataire, il avait déjà vendu un de ses plus beaux costumes, et avait drastiquement réduit sa consommation de tabac. Difficilement. Tant qu'il conservait l'appartement, cela lui suffisait.
Sugimoto y tenait beaucoup, à ce logement ; c'était probablement l'un des seuls attachements irrationnels qu'il se permettait vraiment.
Lorsqu'on lui demandait pourquoi il manquait d'argent, Sugimoto répondait qu'il envoyait la grande majorité de ses revenus à une sœur malade, afin de financer son hospitalisation. C'était un mensonge éhonté : Sugimoto n'avait pas de sœur. Et s'il en avait eu une, il n'aurait sans doute pas dépensé pas un sou pour elle : il était en de très mauvais termes avec sa famille, quoique pour des raisons légitimes. Le recouvreur des dettes était, ô ironie, lui-même endetté fortement. Il avait presque remboursé les crédits visant à éponger la catastrophe de ses premières années ; il ne pouvait en revanche pas en dire autant des dettes que ses parents lui avaient laissé sur le dos avant de disparaître. Alors non, Sugimoto ne désirait pas avoir de lien avec sa famille. Il en souffrait déjà assez comme cela.
Il maintenait l'équilibre de ses finances avec beaucoup de soin, cela dit. Parce que, mine de rien, gérer ses sous, c'était son domaine, et il avait bon espoir de pouvoir bientôt inverser la tendance, de bénéficier à nouveau d'un capital suffisant, de...

... Sugimoto ne dormait plus vraiment. Il était obsédé.
Non par ce qu'il avait d'abord vécu comme une trahison, et que désormais il avait complètement oublié ; cela n'en valait pas la peine, à ses yeux.
Par cet argent qui ne rentrait jamais dans ses caisses à lui, qu'il ne faisait que transmettre sans jamais en profiter pleinement.
Chose nouvelle, son carnet s'était subitement rempli de notes qu'il n'aurait jamais pensé à consigner avant. Il avait consacré une page seule à inscrire toutes les décisions restrictives qu'il s'imposait. Son carnet, c'était sa vie : il notait le moindre de ses griefs, de sorte que si sa mémoire lui faisait défaut, il se souvenait de haïr telle personne qui ne méritait pas son respect ; il inscrivait le nom de chaque personne qu'il fréquentait, la date de la rencontre (parfois approximative)  et la relation qui les liait ; il écrivait parfois ses idées, mais jamais vraiment de rappels, car, comme il le répétait, son carnet n'avait pas office à faire office d'agenda. C'était déjà le troisième cahier qu'il remplissait depuis qu'il travaillait pour Alcatraz ; il avait découpé soigneusement quelques pages des anciens cahiers, et les avait glissées dans la reliure du protège-cahier pour ne pas avoir à les recopier. Une écriture nette et précise rendait compte de sa vie avec froideur et détachement, comme si Sugimoto était bien plus le témoin passif de son existence qu'un acteur pleinement investi. Et peut-être était-il vrai que dans le fond, il ne s'émouvait pas vraiment de ce qui lui arrivait, en dehors de ce problème d'argent.
Les choses ne tournaient pas comme prévu, et à ce rythme, sa propre situation financière menaçait de le discréditer. Perdre sa situation ne l'arrangeait pas vraiment : voilà encore une chose qu'il pouvait ajouter à la liste de ses contrariétés. Peut-on réclamer le montant d'une dette lorsque l'on est soi-même endetté ? Pour Sugimoto, cela n'avait jamais posé problème ; pas sûr qu'Alcatraz vît cela du même œil.
Il avait élaboré le plan suivant : en augmentant le montant de sa cotisation, de façon à ce que ses versements au gang soient plus élevés, il pourrait masquer le gouffre de sa propre situation. Cela entretiendrait l'illusion que ses finances personnelles étaient dans le vert et qu'il ne ressentait pas le besoin de se servir. Et en attendant, il allait devoir préparer un gros coup. Une fraude comme il n'en avait jamais réalisée auparavant et qui, il l'espérait, aurait bien plus de chance d'aboutir que ses premières tentatives.
Sugimoto n'était plus le même.
Avec du culot, cela pouvait bien marcher.
shrug ; 24

les yakuzas sont ma passion ma vie mon souffle et sinon j'avais la flemme de coder une fiche pcq après on s'extasie sur le codage et pas le perso
Fahrenheit
bonjour
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Fahrenheit
S/0


Coucou PotoBien le bonsoir à toi Chiharu et encore une fois bienvenue parmi nous ;;
Je suis émue, désolé, je préviens. (Shinsou - Mon amour pour Boku no Hero Academia, je ... Bref, passons.) Je passe juste pour te dire tes deux choix - en effet nous ne sommes pas des dictateurs et nous avons un ratio pour les réponses du questionnaires. En fonction des deux ratios les plus élevés - tu fais ton choix. Pour ta part tu as...

Omega - 55%
Alcatraz - 45%
Meiji - 0%
Exodus - 0%

Tu as donc le choix entre Omega ou Alcatraz.
Je te laisse donc me dire ton choix ; qui je pense, est déjà fait o/ (il me semble)
Et je te dis bon courage pour le reste de ta fiche - ce que j'en ai lus me plaît énormément pour le moment ; j'ai donc hâte de voir le petit caractère de ton personnage =D

Edit sauvage ; PS - tu as 17 points à répartir pour tes caractéristiques, et je n'en vois que 15 ; il te reste donc deux points à répartir ;)

Edit again ; le choix ayant été fait - la couleur se révèle - bonne fin de fiche ;D
Chiharu Sugimoto
(c) solosand
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Chiharu Sugimoto
D/5
Merci beaucoup, et effectivement, mon choix est déjà fait, les rouges ce sera.
(et omg je ne sais visiblement pas compter, merci de m'avoir prévenu ;;)
Fahrenheit
bonjour
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Validation ! Félicitation !.............. Green au rapport vient de perdre ses yeux et son cerveau sur cette lecture plus que passionnante. Mon dieu. Sugimoto est juste.... Bordel j'ai pas les mots, je slalome entre l'admiration pour sa façon d'affronter les problèmes (l'usurier endetté, désolé mais je m'en remet pas, je suis juste fan, c'est tellement classe comme concept - genre - voilà rien que ça, déjà, ça dépote.) Bon, dans l'ordre, le caractère, mon dieu son caractère, c'est juste ouf comment j'l'aime autant que je le déteste, c'est trop bizarre, mais voilà c'est ce que je ressens. C'est le genre de personnage, si on se retrouvait dans sa tête, mais on aurait envie de le secouer comme un prunier - et pourtant y'a quelque chose de "noble". Je sais pas, c'est vraiment trop bizarre comme impression, mais j'vois vraiment Sugimoto comme un gars qui subit un peu, qui fait face grandement, en mode "advienne que pourra" et, juste, c'est cool. J'sais pas quoi dire de plus à part que ce personnage me hype totalement et que je suis juste contente d'avoir pu lire cette fiche. (Ah, juste, y'a un paragraphe dans ton histoire qui est en double - je m'en suis pas rendu compte tout de suite because mon cerveau est dead, mais voilà, j'te le dis.) Et sinon, ouais, son histoire - tellement de détails, tellement de découvertes - non mais chapeau, c'était wonderful, j'ai adorée, merci pour cette fiche 「insomnia」 (done) 2386599915 Je ne vais pas polémiquer plus de milles ans, j'pense que voilà, c'est assez explicite, tu es validé ! De l'amour sur toi !

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