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solitude charmante, asile de la paix, puissé-je ne vous quitter jamais — dove
Dove
solitude charmante, asile de la paix, puissé-je ne vous quitter jamais — dove Lpf9YvV
FT : oc - fasces
Crédit : dove
Âge : trente-quatre ans
Présentation : le chant de la colombe
Fiche de liens : le nid
Autres comptes : R.A.S.
Messages : 13
Dove
D/5
nationalité(s) : japonaise, naturalisée par mariage
origine(s) : françaises, italiennes, c'est vite le bazar après

orientation sexuelle : hétérosexuelle
situation maritale : mariée, bon gré mal gré
situation financière : moyenne
job/étude : assistante de vie
rôle au sein du gang :membre qui héberge les rescapés

taille : 156 cm
corpulence : une jolie poire potelée
cheveux : mi-longs, blonds
yeux : bleus

force : 2/5
défense : 1/5
dextérité : 1/5
intelligence : 4/5
charisme :2/5
social : 5/5
Que pensez-vous de la guerre des gangs ?
Que, comme toute guerre, elle ne connaîtra aucun gagnant. L'Homme est ainsi fait, à chercher la guerre en rêvassant de la paix. Qui suis-je pour leur retirer leurs ambitions ?

Que comptez-vous faire pour remédier à cela ?
Je n'ai rien d'une combattante, je tiens à peine de l'épouse. Mon rôle sera donc uniquement consolateur. Je ne suis pas le remède, je suis le médicament qui apaise la fièvre ne serait-ce qu'un instant.

Êtes-vous plutôt anti-gang, pro-gang ou neutre dans ce conflit ?
Je ne me prononce pas radicalement, je préfère les tons gris au blanc ou au noir.
Louisette (Galatée, Anne-Marie) Ishii
dove — trente-quatre ans — féminin — neverland
CARACTÈRE

Quand le monde n'est que ténèbres, cruauté, que reste t-il à l'humanité ? Quand l'hiver s'éternise, que le froid mord la peau, oui, que reste t-il ? Il ne reste jamais que l'amour. L'amour d'un tiers, l'amour de soi. C'est ce même sentiment qui me donne la force de me battre, jour après jour, de résister à mon propre enfer. Il me murmure que je ne suis pas cette petite chose faible que me dépeignent mes cauchemars, fait taire les murmures de mes démons. C'est l'amour qui me porte, quand mes jambes ne savent plus marcher.

Peut-être vais-je paraître naïve. Peut-être le suis-je vraiment, d'ailleurs. Mais je suis de celles qui croit en ce sentiment puissant. Je ne crois pas au bonheur, à la perfection, je ne crois pas à l'idylle. Je reconnais l'amour pour ce qu'il est : le mélange explosif de bonheur et de malheur. La palette colorée, tachetée, à la mécanique toujours alimentée par les affres des mortels. Face à nos peurs, face à tout ce que nous ne comprenons pas, c'est l'amour qui nous sauve. Le même qui, parfois, nous donne même la force de sauver quelqu'un d'autre.

J'ai choisi de suivre ce chemin. Qu'il soit jonché d'obstacles ne me fais pas peur. J'aime sans compter, sans la moindre retenue. J'aime parce qu'il en faut, de l'amour, pour percer le gris des nuages. Nous avons tous besoin d'un éclat, d'une éclaircie. Pourquoi ne pourrais-je pas être pour vous cette accalmie ? Ma voix ne sera jamais que de douceur, mes mots toujours soigneusement sélectionnés. Je ne veux blesser personne, créer le moindre conflit me peinerais profondément. Je ne cherche qu'à panser les blessures et offrir du baume au cœur. Souffrez. Souffrez de votre propre rage, et je serai là pour vous border. Je caresserai vos cheveux, vous promettrez de plus beaux jours, de plus sombres également. Je décrocherai une poignée d'étoiles et dessinerai avec un chemin pour que vous rentriez toujours à la maison sains et saufs.

Je ne demande rien en retour. Je ne demande que l'autorisation de vous aimer, vous aimer à m'en perdre. Il y a tant de choses que je veux cacher, tant de choses que je maintiens sous la surface jusqu'à en suffoquer. Lorsque je n'ai plus rien, lorsque je ne suis plus rien, laissez-moi vous aimer, veiller sur vous. S'il ne me reste que quelques minutes, quelques secondes, avant de disparaître de nouveau dans ce rôle qui est le mien, celui de l'épouse, je vous conjure de me laisser vivre pendant ce laps de temps. Je suis incapable de choisir pour moi, dénuée de force lorsqu'une décision ne concerne que ma minuscule petite personne, mais je pourrais soulever des montagnes pour vous.

Je n'ai pas de Dieu. Je n'aurai jamais la prétention de vouloir m'élever à ce rang, ou un quelconque autre. Je ne suis que le mirage, au milieu du Sahara, qui veut offrir à vos corps endoloris un peu de repos.

Au quotidien, je suis de bien petites choses. Discrète, je suis l'amas de mes actions, de mes manies. Je suis la petite effrontée qui met toujours une robe par le haut. Je suis l'âme d'enfant qui colle son nez sur les berlingots de lessive afin de profiter de leur douce odeur. Je suis l'étrangeté qui ne porte jamais de col roulé, mais ne peut pas dormir sans avoir la couverture sur la nuque. Je suis cette femme, à peine cette silhouette, qui observe par la fenêtre quand il pleut, traçant de l'index les gouttes qui s'écrasent contre le verre.

Je suis une éternelle rêveuse. Une fidèle philosophe dans l'âme, également. Je suis celle qui se pose une myriade de questions, jamais frustrée de ne pas leur trouver de réponse. J'aime les questions, le mystère qu'elles tentent de soulever. Je préfère le bruit, les lieux bondés où je ne suis qu'une parmi entre d'autres, pourtant je sors peu. Le monde, bien qu'il me fascine, est également effrayant. Je marche sur ce fil-là, funambule malgré moi tout simplement parce que mon cœur a été fait ainsi.

J'ai connaissance du grain de folie qui bouillonne en moi, de la fougue qui frappe à mes tempes. Mais je n'ai plus l'âge de vivre cette vie-là, cette existence pleine d'aventures et de rebondissements. Je ne suis qu'une épouse, une femme dévouée. Je suis qui je suis, pour le peu que je suis, et je m'effacerai un jour comme je suis venue : dans un profond soupir chargé de non-dits.

Mon seul regret sera de le laisser derrière moi, le jour où je rejoindrai l'autre rive, celle de laquelle on ne revient pas. Aujourd'hui, nous ne sommes qu'un. Lui, la petite chose qui dort et vit en moi. Et moi, la matrice protectrice qui cherche à construire une forteresse, quelque part, dans laquelle il sera en sécurité. Je dis "il", mais j'ignore si l'être qui s'est formé à partir des lambeaux de l'amour de mon mari sera effectivement un petit garçon. Peut-être une petite princesse, à coiffer et habiller ? Dans tous les cas, je trouverai le Paradis pour mon enfant. Un Paradis pour lui, vous. Un refuge pour "nous".
HISTOIRENous nous sommes aimé. J'époussette son épaule, un léger sourire au coin des lèvres, et embrasse sa joue en lui souhaitant de passer une bonne journée. Son dos, sans qu'il prenne la peine de me répondre, s'éloigne puis disparaît bientôt à l'angle de la rue. Oui, nous nous sommes aimé. Je me console avec ces quelques mots, un petit mensonge pour faire tenir le château de cartes qu'est notre mariage.

Jeunes mariés, nous jouions à ajouter des cartes, parfois même inutiles. A présent, nous tentons de faire tenir le peu qu'il reste de la structure, pour que le tout ne s'effondre par sur lui-même.

Je referme la porte, lentement, et m'y adosse. Mes jambes se mettent à trembler, faibles, puis m'abandonnent. Je tombe au sol, et mes mains cherchent à arrêter, en vain, le flot des larmes qui débordent. Que reste t-il de nous ? Est-ce possible de sauver un bateau déjà coulé ? Je m'évertue à croire que notre Titanic connaîtra une autre fin. Pourtant, je ne fais que me heurter sans cesse à l'iceberg. Un iceberg qui laisse du bleu et du violet sur mon corps.

Je n'ai que lui. Je suis perdue, sans lui., tourne en boucle dans mon esprit aux bordures encore floues. Et je ris. Je ris parce qu'il n'y a plus rien d'autre à faire.

J'ai tout abandonné pour lui, j'ai tenu tête à ma famille. J'ai changé mon histoire, pris une autre route dans l'espoir qu'elle me porte chance. A présent, je suis ce fantôme qui fait la vaisselle, passe l'aspirateur. Je suis ce fantôme qui l'effleure dans l'espoir qu'il sente mon souffle et se souvienne.

Je me fissure, puis me brise à nouveau, lamentablement. Je ramène mes jambes vers moi, les encerclant de mes bras. J'aimais tant son sourire. Son rire était mon hymne, et sa voix ma berceuse. J'étais sa muse, son joyau précieux. Mais le temps m'a abîmé, comme toutes. Sage poupée blonde, je nie tout. Je rassure les voisins quand ils nous entendent nous disputer. Je réceptionne l'attention violente qu'il me jette à la figure, dans ces moments-là, et le supplie de me pardonner. J'ai brisé ma promesse. J'ai balafré la promesse que nous nous sommes faite devant l'autel. J'ai cherché la consolation à son absence, son silence, dans les bras d'un autre, dont la marque grandit maintenant dans mon ventre. Quatre petits mois. Trop tard pour faire marche-arrière.

Je me cache derrière l'excuse. Je n'ai pas envie de faire marche-arrière. Qu'il soit celui d'un autre ou que lui l'accepte, cet enfant est dans tous les cas le mien. Un enfant qu'il n'aurait jamais su me donner. Un enfant qu'il n'accepte que parce qu'il n'a plus d'autre choix.

Un fonctionnaire de police comme lui n'a pas le temps pour ce genre de choses de toutes façons. Un fonctionnaire qui doit noyer le poisson pour les blessés qu'il lui arrive de prendre en charge, et que nous hébergeons alors. Des gens esquintés, parfois plus qu'ils ne veulent bien le dire, auxquels je donne le peu que je possède : un peu d'attention,  beaucoup de bétadine.

Malgré ces silences que nous occupons avec d'autres voix que les nôtres, c'en est risible, je crois que je l'aime encore. Désespérée, et désespérante.

Toute la matinée je m'occupe mollement du ménage. Puis pars au travail. J'abandonne derrière moi ces murs gris, dans lesquels l'odeur de la cigarette froide s'est encrée. Dehors, le bruit me ramène à la vie. En arrivant chez la personne âgée dont je m'occupe, je lance un bonjour enthousiaste. Malgré l'air jovial balancé sur mon visage, je m'arrête devant chaque miroir pour vérifier que mon maquillage camoufle les hématomes. Personne ne doit savoir. Ça ne concerne que nous. La veille dame me félicite pour l'heureux événement, et je lui réponds d'un sourire. Encore un sourire. Mon armure tient bon.

Sur le chemin pour rentrer à la maison, à la fin de la journée, la sonnerie de mon téléphone me sort de la contemplation du ciel orangé. Un ciel embrasé. Je ramène le visage dans la poussière, et glisse ma main dans ma poche pour en extirper le petit appareil qui vibre encore par à-coups. "Catherine". Je pose mon pouce sur la flèche, prête à la faire glisser sur l'icone rouge. Mais la sonnerie s'arrête. Je lève mon pouce, et regarde, arrêtée au milieu du trottoir, l'écran s'éteindre.

Catherine, ma sœur, m'appelle ainsi de temps à autres. Comme mes deux frères. Ils veulent pouvoir dire "je l'ai fait, elle n'a pas répondu". Je soupire, alors que mon sourire s'efface. Ainsi va la vie. Les gens se rencontrent, s'attachent, puis se perdent. Mon plus bel exemple reste mon époux. Rencontré pendant un plan d'échange à la faculté, nous nous sommes attachés. Puis perdus. Toujours posé dans un coin de ma tête, je me demande ce qu'il aimerait manger ce soir.

Nous avons mangé. Il a décidé d'essayer de m'aimer. Son corps s'écrase sur le mien, rendant difficile de respirer. Mes mains battent l'air avant de se presser contre ses hanches, cherchant un peu d'espace. Il prend ce geste comme un encouragement, et s'appesanti. Résignée, je cherche ses cheveux pour y glisser les doigts, souhaitant de tout cœur lui faire parvenir ainsi mes sentiments pour lui. Il repousse alors ma main, et roule pour retomber de son côté du lit. Je fixe le plafond, tendant vaguement l'oreille au son de sa respiration.

Je n'ai jamais été particulièrement douée en quoi que ce soit. J'ai toujours au moins eu l'avantage d'être responsable de mes actes. Pour autant, il m'a aimé ainsi. Avec mes points forts et faibles.

Je me tourne légèrement, et embrasse son dos, mes lèvres éclatées s'attardant entre ses omoplates, avant de lui souhaiter de faire de beaux rêves d'une voix légèrement étouffée. Je hisse la couverture sur mon corps fatigué, engourdi. Un corps dont toutes les couleurs ont été délivrées par la douche. Je souris et avale maladroitement la salive pesante qui se tapie sur ma langue, malgré ma gorge serrée.

Un jour, tout reviendra à la normale. Je me réveillerai, et il me sourira.
Un jour, il n'aura plus à se soucier de la guerre des gangs, et vivra heureux.
Un jour, je l'espère de tout cœur, notre horloge reprendra sa course.  
TOIft. o.c, Fasces.
Que dire, que dire ? Bonjour, m'a l'air d'être un bon début. Je suis une jeune maman, je rp depuis environ dix ans maintenant mais mon niveau est très variable. Je suis une grande timide, même si je suis plus expansive une fois que je me sens à l'aise. Je dors beaucoup, je tiens du loir. J'ai tendances à être plus nocturne que diurne. Quoi d'autre ? J'adore l'île flottante. Et j'aime les virgules. Beaucoup. J'espère que nous nous entendrons bien !
Bookman
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FT : Chrollo Lucilfer ( Hunter x Hunter )
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Fiche de liens : Cercle chromatique
Autres comptes : Fyodor
Messages : 65
Bookman
D/4
solitude charmante, asile de la paix, puissé-je ne vous quitter jamais — dove 1206242735 Bienvenue parmi-nous~❤️

j'aime déjà ton perso solitude charmante, asile de la paix, puissé-je ne vous quitter jamais — dove 2628785882 une Nederland sa fait trop plaisir!!!

v( ̄∇ ̄) Gros bisous et bonne continuation pour ta fiche ( hâte de lire la suite )~❤️



Rinne
solitude charmante, asile de la paix, puissé-je ne vous quitter jamais — dove 1503175769-2017-08-19-22h49-10
FT : Hanmi / Unstoppable Siblings
Crédit : Kayou & Sunsun & Absinthe (l) & Arashid e_e & Pureté infinie (l)
Âge : 24 ans
Habitation : 3 Chome-19-7 Nishiikebukuro Toshima-ku, Tōkyō-to 171-0021 Japon
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Rinne
C/4
Bienvenue charmante ♥
Dems
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FT : Aomine Daiki
Crédit : jiji gros boobz
Âge : 31 piges
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Présentation : Ma grosse teub...
Messages : 65
Dems
D/2
Bienv'nue !
Pure
FT : Satsuki Kiryuin — Kill la Kill
Crédit : © cheshireFTW
Âge : 25 ANS.
Habitation : IKEBUKURO
Présentation : LOST IN TRANSLATION
Autres comptes : Jun, Ace
Messages : 218
Pure
D/1
Olà, bienvenue parmi nous! ♥️
bigup à la playlist parce que, il faut savoir que j'adore ce genre de petites intentions
ça plonge direct dans l'ambiance et tout (et je me rend compte que je l'écoute depuis tout à l'heure du coup je crois que ça veut dire que j'aime, ça pose vraiment ohlala)


Assistante de vie, c'pas commun comme métier et ça fait plaisir à voir en vrai! pour le reste, j'avoue que je me réserve la lecture pour plus tard, du coup j'ai encore rien de très pertinent à dire (sorry ;;)
Ellipse
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Âge : 20
Présentation : DASH
Fiche de liens : RUN
Messages : 244
Ellipse
D/2
Y a une douceur qui se dégage de cette fiche c'est un truc de fou, j'aime tellement ce que tu fais de ce personnage ;;
Bienvenue à toi ! <3
Dove
solitude charmante, asile de la paix, puissé-je ne vous quitter jamais — dove Lpf9YvV
FT : oc - fasces
Crédit : dove
Âge : trente-quatre ans
Présentation : le chant de la colombe
Fiche de liens : le nid
Autres comptes : R.A.S.
Messages : 13
Dove
D/5
Merci beaucoup à vous tous, vous êtes des amours ! ♥️

bookman — Yay, oui, je vise le rose fushia pour vous tenir compagnie !
rinne — Merci mignonne.  solitude charmante, asile de la paix, puissé-je ne vous quitter jamais — dove 4169325468
dems — Merci, monsieur le sexiste !
pure — Je trouve aussi qu'une petite playlist (deux musiques dans mon cas), ça pose bien l'ambiance autour d'une fiche. Ça aide à se mettre directement dans le bain. ♥️ Et pour la lecture réservée, ne t'en fais pas ce n'est pas du tout un problème ! J'espère quand même que, le moment venu, tu passeras un bon moment à lire ces pitits lignes.
ellipse — Moohw, je te remercie, c'est vraiment adorable ! Je suis contente qu'elle te plaise !
Fahrenheit
bonjour
FT : occultic nine // hashigami sarai
Âge : Inconnu
Habitation : Partout
Messages : 613
Fahrenheit
S/0
dove-moi de l'amourHey!  solitude charmante, asile de la paix, puissé-je ne vous quitter jamais — dove 2386599915  
Tout d’abord, l’on te souhaite un chaleureux bienvenue!
Et sinon que dire? Que dire de cette fiche à part que ça a été une très jolie claque? (J’avoue que j’aurais aimé m’en prendre plus souvent des claques de ce genre)

Il y a beaucoup à dire sur cette fiche et ce personnage qui clairement change grandement nos habitudes, ce que l’on peut voir généralement. Et c’est vraiment rafraichissant, autant qu’intéressant d’ailleurs. Déjà, le fait de posséder le point de vue d’une adulte ayant du vécu, le retranscrire dans un personnage. Va falloir me stopper si je raconte des bêtises, mais que cela soit dans le style ou la manière de décrire les choses, on sent la maturité. Et surtout, beaucoup. Beaucoup. BEAUCOUP. De douceur. J’ai vraiment eu le sentiment d’avoir été strangulé avec amour par un tsunami de douceur, (c’était comme mourir dans les bras d’un ange, c’était beau).

Dove.
Déjà rien que le nom, c’est si bien trouvé, si fidèle au personnage qui est dépeint à travers ta fiche. Un symbole d’espoir, constant. Et l’on ressent cette capacité à encaisser, se relever, espérer, relativiser. Dans sa vie personnelle comme dans son milieu professionnel, elle donne beaucoup Dove, elle donne toujours parce qu’elle est une réserve inépuisable. Même lorsqu’on se dit qu’elle pourrait craquer, se fêler, elle trouve toujours le moyen de s’en remettre pour donner davantage. Trop de générosité en un seul personnage, qui est, qui plus est, si humble. Surtout que sa vie est loin d’avoir été un long fleuve tranquille. Elle a tout quitté, tout abandonné, pour vivre et se marier dans un pays étranger à l’homme qu’elle aimait. Même dans son malheur le plus intense, rien ne sonne plaintif dans la manière d’écrire, comme s’il y avait un grand recul sur tout.

Tout semble très mesuré, avoir été observé attentivement avant qu’un jugement ne soit prononcé. Cette notion de « gris » dont tu parlais dans le questionnaire, on l’a ressent tout au long de la fiche, c’est quelque chose de très marquant chez elle.

D’ailleurs, je sais pas si c’était voulu, mais en lisant le caractère, je prenais son mari pour quelqu’un de vraiment horrible. Et attention, qu’on ne me fasse pas dire n’importe quoi, frapper une femme enceinte est un acte terrible et abjecte, rien ne peut justifier ni excuser un tel comportement, une telle violence. Mais le fait qu’on apprenne par la suite qu’elle l’avait trompée, portant l’enfant d’un autre, rend la situation plus « humaine ». Ce que je veux dire par-là c’est que ce twist m’a fait hausser un sourcil, j’ai trouvé ça très bien tourné, je m’y attendais pas. Son mari n’est pas qu’un monstre, il est aussi un humain, blessé, réagissant d’une manière terrible, mais réagissant à cette situation en tant qu’être humain.

Le fait qu’elle ait sa part relativise le tout, ce n’est pas seulement qu’un salaud, c’est un salaud blessé.

Ceci étant dit, Dove a quelque chose de très émouvant dans son rapport aux autres, à ce qui l’entoure. L’on ressent un comportement maternel très fort chez elle, c’est vraiment frappant?? Elle fait vraiment parti de ces personnages qu’on aimerait enrouler dans du papier bulle pour que rien ne puisse l’atteindre, et l’on craindrait presque pour elle et sa générosité dans de telles circonstances que celles offrant Tokyo actuellement. Elle et son enfant. Car si les références à ce petit être sont discrètes, elles restent frappantes.

Si je peux me permettre de faire le parallèle entre ta fiche et les informations que tu nous as données dans la partie IRL, j’avoue que le fait que tu sois toi-même une maman se ressent vraiment et je trouve, donne toute cette particularité à ta fiche. Car tu ne prétends pas connaître quelque chose, tu l’as vécu et le retransmet dans ce personnage.

Tout ça pour dire que,
j’espère que d’autres personnes viendront lire cette fiche. Et qu’elles tomberont un peu amoureuse de Dove (et si ce n’est pas le cas, hé bien, je ne comprend plus la race humaine) comme j’en suis amoureux. Dove c’est un écrin de douceur, beaucoup d’espoir et une force incroyable. Car oui, je ne pense pas l’avoir déjà dit ou bien je radote (ce qui est fort possible) mais Dove est terriblement forte.

Tu es donc officiellement validée, en espérant que tu prennes tes marques chez nous et que tu t’y amuses!
solitude charmante, asile de la paix, puissé-je ne vous quitter jamais — dove 125022726

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