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grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end
Ophélia
grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end BEcNWX2
FT : elizabeth // bioshock infinite
Crédit : fahrenheit & jiji
Âge : 28 yo
Habitation : harajuku
Présentation : www.
Fiche de liens : www.
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Messages : 35
Ophélia
C/5

the sky is everywhere
ophélie kirishima • femme • vingt-huit ans • neverland • japonaise • origines anglo-françaises • hétérosexuelle

situation maritale : veuve depuis quelques mois, ne s'en est pas encore remise
situation financière : très aisée
job : présentatrice du journal de la fuji tv
rôle : membre active de neverland
taille & corpulence : 1 mètre 70 & svelte
cheveux & yeux : châtains & bleus
signe particulier : son style vestimentaire très européen la rend facilement reconnaissable

nutty. ♂. 23 ans.
ft. elizabeth (bioshock: infinite)

bjr c'est nótt. merci pour ce prédef magnifique que j'attendais depuis longtemps (cc fahr). j'en prendrai grand soin promis ♥️
Que pensez-vous de la guerre des gangs ?
Ce fléau. Les personnes faisant parties des gangs ne méritent aucune compassion. Ce sont des monstres. Ils ont fait le choix de l’illégalité et du chaos alors ils doivent être traités comme des criminels et des meurtriers. Tant de vie brisée par leur faute. Tant de personnes qui ne reviendront plus du travail le soir. Mon mari est l’un d’entre eux. Il était mon phare, mon guide. Maintenant il n’est plus. A cause des gangs. A cause de ces vermines. Tous les jours je souffre de son absence. Ils me l’ont pris comme ils ont pris les enfants, les épouses et les maris de milliers d'autres habitants de Tokyo. Ils doivent payer pour ça. Ils doivent périr.

Que comptez-vous faire pour remédier à cela ?
Mon mari était policier. Il voyait son métier comme une mission, un devoir, défendre le peuple. Il a donné sa vie pour Tokyo. Mais son combat n’est pas mort avec lui. Je le poursuivrai à sa place, avec son âme à ma droite et ceux qui veulent en finir avec les gangs à ma gauche. J’utiliserai mon influence dans les médias, mon réseau d’informateurs et ma fortune pour soutenir l’effort de guerre et aider Neverland et le Shinsengumi. Pour qu’un jour je puisse retrouver les assassins de mon époux. Pour qu’un jour je puisse me venger.

Êtes-vous plutôt anti-gang, pro-gang ou neutre dans ce conflit ?
Les pro-gangs sont aussi criminels que les gangs eux-mêmes. Ils doivent recevoir le même traitement. Quant aux neutres. Ce sont des imbéciles. La neutralité c’est la voie des faibles. Des moins-que-rien. De ceux que l’Histoire au mieux oubliera, au pire considérera comme complices. Il est du devoir de chacun de prendre les armes pour lutter contre cette maladie qui ronge notre ville. Je suis anti-gang.



Toutes les plus roses ont des épines. C’est facile de dire cela mais tellement vrai pour elle. Elle, c’est Ophélie Kirishima, dite Ophélia. La ravissante, magnifique et talentueuse Ophélia. Celle qui fait tourner les têtes à chacune de ses entrées. Celle qui vous envoûte avec ses yeux bleus. Celle qui vous regarde, toujours un sourire au coin de ses lèvres carmin. Beauté froide ne cachant pas ses origines lointaines. La manipulation est un art qu’elle exerce à la manière d’un Raphaël ou d’un Léonard. Avec talent, grâce et précision. Elle se joue de vous comme une joueuse de poker charme son adversaire pour mieux le battre. Vous faire voir monts et merveilles. Vous laissez imaginer une main ridiculement faible, ou au contraire excellente. Et finalement abattre ses cartes. Une par une. Elle enfonce le clou avec la délicatesse d’une reine et l’impassibilité d’un carillon sonnant l’heure. Elle profite du spectacle. Et quel spectacle ! Admirer votre visage se déconfire peu à peu. Voir la joie se troubler en désespoir dans vos yeux. Comprendre que vous vous êtes fait avoir mais qu’il est trop tard. Tout ceci est inestimable.

Ophélia c’est la femme que vous voyez tous les jours à la télévision. C’est peut-être le premier amour de vos enfants. Le fantasme de vos maris. Le modèle de vos épouses. Elle est la parisienne dont rêvent les japonaises. Elégante. Chic et sobre à la fois. Son influence dans la vie quotidienne est impossible à quantifier, mais lorsqu’on est la présentatrice vedette de la Fuji TV, elle est indiscutable. Jamais à court d’arguments, ses questions franches et sans détours ont fait la renommée de ses interviews. Nombreux sont les politiciens à être passés entre ses mains. Rares sont ceux qui a en être sorti indemne. Elle dirige ses échanges avec la finesse d’un capitaine naviguant entre les récifs, menant l’invité là où elle le souhaite. Mais vous ne verrez jamais Ophélia dépasser les limites. Elle sait quand il faut s’arrêter et n’est pas du genre à s’opposer aux directives. Évoquer les nombreuses maîtresses d’un ministre à une heure de grande audience ? Jamais. Elle sait que sa place peut lui être retiré du jour au lendemain. Alors elle travaille. Encore et toujours. Les sujets qu’elle évoque sont tous étudiés à fond. Et ceux qu’elle choisit de passer sous silence lui sont tout autant connus. Elle est joueuse, pas ignorante.

Mais derrière les bagues Cartier, les tailleurs Chanel, les lunettes de soleil Dior et les sacs Prada se cache un autre visage. Celui d’une femme en colère. En quête de vengeance. Les gangs lui ont pris son mari. Son tendre et cher Hayato. Celui qui l’avait mené si loin de sa France natale. Celui pour qui elle était restée dans ce pays étrange. Il lui manque. Follement. Éperdument. Douloureusement. Son chagrin s’est transformé en haine. Haine des assassins de son époux. Haine de ces gangs qui brisent des familles. Haine de tous ceux qui ne font rien pour changer les choses. Ophélia porte la révolte de Neverland dans son cœur. Elle a décidé de vivre aujourd’hui pour mieux s’abandonner au chagrin demain. Elle a choisi de se battre pour sourire à la fin, lorsque le dernier des membres de gang aura été dévoré par des chiens errants. Il n’y a ni pitié, ni compassion, ni tendresse dans son esprit. Ceux qui ne l’écoute pas. Ceux qui osent s’opposer à ses décisions. Elle les brisera. Bout par bout. Non pas physiquement mais psychologiquement. Elle fera de leur vie un enfer interminable. La mort a rendu la jeune femme cruelle. Elle arpente un chemin sans retour. Mais ça ne la gêne pas. Abattre les gangs n’a pas de prix trop élevé.

Ophélia n’est pas l’Ophélie de Shakespeare. Elle n’est pas l’amante abandonnée par Hamlet. Elle n’est pas la femme anéantie sombrant dans le désespoir. Elle n’est pas la belle emportée par l’onde calme de Millais. Elle n’est pas ce personnage de tragédie au destin brisé. Son destin sera construit de ses propres mains. Avec charme et cruauté. Avec finesse et manipulation. Au prix de sourires hypocrites et de larmes trompeuses.
force
●  ●  ●  ○  ○
défense
●  ●  ○  ○  ○
dextérité
●  ●  ○  ○  ○
intelligence
●  ●  ●  ●  ●
charisme
●  ●  ●  ○  ○
social
●  ●  ○  ○  ○
Elle est cette enfant représentée par Félix Vallotton dans son tableau Le Ballon. Jouant avec une balle rouge dans un grand parc au milieu des arbres. Avec son chapeau jaune lui couvrant la tête. Sa robe d’un blanc éclatant. Et ses bottines orange. Elle est ce garçon dressé dans l’ombre d’Un coin d’appartement de Claude Monet. Regardant le visiteur avec ses yeux perçants. Ne disant mot mais n’en pensant pas moins. A l’arrière-plan la mère attend assise près de la fenêtre. C’est le père qui rentre du travail comme tous les soirs. Et l’enfant lui en veut. Car encore une fois il n’a pas été là pour lui.



Notre histoire commence dans un square, sous la douce chaleur d’un matin d’été parisien. Une mère pousse un landau. L’enfant qui s’y trouve est né il y a quelques mois. Une nouvelle vie commence pour toutes les deux. Une vie pleine de joies, de rires, et de jeux. Pour compléter ce beau portrait, il faudrait ajouter le père. Mais il travaille pour le moment. Il est directeur financier dans une grande multinationale. Un emploi qui paye bien mais qui ne laisse que peu de temps libre. Mais la mère ne lui en veut pas. Elle savait à quoi s’attendre lorsqu’elle a dit oui. Et le bonheur de passer des moments complices avec sa fille efface les prémices de la rancune.

Les années passent. L’enfant grandit. Bientôt elle obtient sa propre chambre. Les murs sont blancs, recouverts de photographies et de tableaux colorés. Elle rêve de reines et de princes charmants. De licornes et de magiciennes. De fées et des lutins. Elle voit le monde avec ses yeux innocents, ne pouvant admirer que sa beauté car les désastres et la cruauté lui sont cachés. Sa mère s’occupe toujours autant d’elle, le père étant souvent en déplacement pour son travail. Tous les jours, après l’école, elles vont se promener au parc ou au zoo. L’enfant découvre ce qui l’entoure. Elle s’imagine maîtresse d’école ou journaliste. Journaliste. Quelle idée étrange. Sa mère lui sourit. Son père l’ignore. On ne fait pas attention aux paroles d’un enfant.

Les années passent. L’enfant grandit encore. On lui annonce que la famille va déménager. Au début elle imagine une maison en banlieue, avec un jardin et un chien. Non. Tout ce petit monde part de l’autre côté de la mer. Le père vient de recevoir une promotion qui l’oblige à s’installer à Londres. Il revient dans sa ville natale. Et il prend tout le monde dans ses valises. Elle n’a pas vraiment le temps de dire adieu à ses amies de sixième. Elle quitte sa chambre et ses murs blancs couverts de photographies et de peintures. La voilà en Angleterre. Malheureusement. Elle n’aime pas Londres, ni son brouillard ni sa neige. Elle n’aime pas non plus son pensionnat pour jeune fille. Perdu au milieu de nulle part dans la campagne britannique. Si on lui avait demandé son avis, elle aurait refusé de venir. Elle se serait installée en France pour toujours. Mais on ne fait pas attention aux paroles d’un enfant.

La communication n’est pas un problème à l’école. Son père lui a toujours parlé en anglais, sa langue maternelle, mais l’adaptation est difficile. Ici les règles sont strictes. L’uniforme obligatoire. Le couvre-feu à vingt-et-une heures non négociable. La nuit elle rêve de Paris et ses lumières. Plus que tout elle veut y retourner. Et puis le temps s’écoule. Et avec lui les regrets s’effacent. La France n’est plus qu’un souvenir. Heureux. Mais passé. Elle a fini par adopter cette Angleterre si étrange. Elle n’est pas sûre de l’aimer, mais elle l’accepte. C’est ainsi qu’elle termine sa scolarité brillamment. Une consécration ternie quelques jours plus tard par la mort brutale de son père victime d’une crise cardiaque. L’éternel absent ne serait définitivement plus là. Et, pour la première fois, elle veut le serrer dans ses bras et lui dire « je t’aime ». Cet homme qui ne s’était jamais vraiment occupé d’elle lui manque.

Elle le pleure. Un peu. Mais n’arrête pas de vivre pour autant. Plus tard elle veut être journaliste. Voyager à travers le monde. Ecrire des articles pour de grands journaux renommés. Gagner le prix Pulitzer. Sa mère aurait voulu qu’elle devienne avocate ou médecin, tout comme le reste de sa famille. Une journaliste c’est gênant, ça fait tâche sur l'arbre généalogique. Mais quelques remarques sur son absence d’avenir ou la bassesse du travail journalistique ne viennent pas à bout de sa détermination.

Ophélie retourne à Paris pour ses études. Loin de sa famille. Dans cette ville qui l’a vue grandir. Très vite elle se fait remarquer pour son aisance à l’oral et un talent certain pour l’écriture. Son diplôme en poche, elle parcourt le monde pour couvrir des guerres civiles au Moyen-Orient, des famines en Afrique, des découvertes archéologiques en Amérique du Sud et arrive finalement au Japon. Ce pays si loin à l’est ne l’intéresse pas pour sa culture ou son histoire millénaire, mais pour une certaine guerre des gangs qui grandit dans la capitale. Cet affrontement est encore méconnu du reste du monde, mais Ophélie pense, ou espère peut-être, qu’il prenne de plus grandes proportions pour devenir le sujet d’articles. En attendant elle visite, se renseigne, et apprend le japonais, langue qu’elle avait découverte sur les bancs de l’école de journalisme.

La femme indépendante qu’elle est ne pense pas à tomber amoureuse dans un tel lieu. Et pourtant. Hayato Kirishima. Un nom qui fera battre son cœur pour toujours. Policier, elle doit l’interviewer pour un article pour le compte d’un journal local. Le coup de foudre est instantané et réciproque. Lui tombe sous le charme de cette européenne à l’accent si charmant. Elle de cet homme qui correspond si parfaitement à son idéal masculin. Le mariage est célébré quelques mois plus tard dans une petite église d'Ibaraki. Un lieu énigmatique et envoûtant qu'Ophélie avait découverte au cours d’un déplacement à Osaka. La liste des invités présents est très courte. Des amis japonais. Quelques membres de la famille d’Hayato. Et la mère d’Ophélie. Le reste ne s’est pas déplacé. Manque de temps. Manque d’envie. Cette fille qui ne fait rien comme il faut ne mérite aucune attention.

Un bonheur n’arrivant jamais seul. C’est peu de temps après le mariage, alors que le couple est encore plongé dans les cartons, que la jeune femme reçoit une offre d’emploi à la Fuji TV. Journaliste à temps complet. Le début d’une carrière fixe et moins aléatoire que jusqu’à présent. Pour la chaîne elle réalise des reportages, pas toujours intéressants, mais son acharnement au travail et sa capacité à éliminer discrètement la concurrence lui permet de monter rapidement la hiérarchie. Toujours dans un train ou un avion, Ophélie est trop occupé pour réaliser les ennuis qui guettent son mari. Hayato s'est trop lié aux gangs. Le policier n’est pas méchant mais il a ouvert la mauvaise porte et la corruption est entrée avec son cortège nauséabond. Trop tard pour dire stop. Trop tard pour s'extirper. L’épouse ne peut que constater l’ampleur des dégâts. Elle lui en veut, elle lui dit qu’il n’aurait pas dû, qu’il a fait une erreur. Ils se disputent. Tous les soirs. Mais ils s’aiment. Et puis ils attendent un enfant alors la joie semble poindre à l’horizon. Non. Fausse couche. Deux mots qui résonnent encore dans la tête d’Ophélie comme un échec cuisant. L’enfant n’est jamais né. Elle ne l’a jamais serré dans ses bras. Il n’y avait rien à serrer. Rien à pleurer.

Disputes. Amour. Travail. Éternelle boucle qui rythme la vie d’Ophélie. Elle ne laisse pourtant rien paraître. Personne n’est au courant pour le drame ou la relation tendue avec son mari. Aux yeux de la ville, elle est cette journaliste étrangère qui réussit beaucoup trop bien. Ses nuits de travail finissent par payer. Un matin, le directeur de la Fuji TV la fait convoquer dans son bureau. Elle devient la présentatrice principale du journal télévisé. Elle avait déjà fait quelques remplacements, notamment pour des interviews de notables anglophones ou francophones, mais maintenant elle sera sur le plateau tous les soirs. Pas une absence. Pas un mot de travers. Pas une question déplacée. Ophélie connait sa place, elle sait que la moindre erreur peut lui coûter gros.

Les revenus du couple augmentent en conséquence. La petite paye de policier d’Hayato fait bien pale figure à côté des sommes vertigineuses que reçoit la jeune femme. Mais ce n’est pas grave. Les disputes sont un mauvais souvenir et ce nouvel appartement avec une vue panoramique sur la ville et la baie sera un bon moyen de repartir sur des bases meilleures. Non. Alors qu’Ophélie souhaite une bonne soirée aux millions de téléspectateurs qui la regardent quotidiennement, son assistante vient la voir paniquée. Ton mari vient d’être retrouvé. Il est mort. Je suis désolé. Elle n’y croit pas. Ce n’est pas possible. La Jaguar Type E traverse la ville à toute allure. Une ruelle. Sombre. Malodorante. Sinistre. Et lui. Au milieu d’une marre de sang. La vision est atroce mais elle ne peut détourner les yeux. Son pilier venait de tomber. Égorgé comme un animal. Pas de larmes. Pas de pleurs. Pas de cris. Rien. Elle sait que les journalistes l’épient déjà. Ils n’auront pas le plaisir la voir en veuve éplorée.

La jeune femme se jure de ne pas verser la moindre larme sincère avant que son mari ne soit venger. Aux yeux du public elle sera la femme forte. Celle qui porte le deuil constamment en s'habillant de noir et de blanc. Qui ne montre rien de sa souffrance, à part une petite larme à l’occasion. Une larme de façade. Un artifice pour ravir l’assemblée. Ophélie devient peu à peu Ophélia. Femme en quête de vengeance. Prête à beaucoup pour détruire ceux qui ont assassiner son tendre Hayato. Elle veut leurs têtes. A eux et à tous ces membres de gangs. Car il n’y a aucun doute. Son mari a été tué par Alcatraz. On le lui a certifié. Est-ce à cause de ses liens trop rapprochés, ou de son métier de policier, elle ne sait pas. Elle ne veut pas savoir. La vérité lui fait peur. A l’ombre de son appartement la haine prend le pas sur la raison. Un jour elle aura les meurtriers morts à ses pieds. Alors de la main droite elle finance Neverland, tandis que de la gauche elle fait tout ce qui est possible pour soutenir le Shinsengumi. Ses relations. Son argent. Son métier. Tout est mis à contribution pour éradiquer la vermine de la ville. De l’adolescent paumé au vieux yakuza. Ils tomberont tous.

Elle est cette silhouette surveillant la ville depuis son appartement. Elle est cette femme expliquant presque tous les soirs à la télévision que les gangs sont un fléau en introduction de reportages. Elle est une victime de plus dans cette guerre. Elle causera votre perte. Et la sienne aussi probablement.

Somnifère
grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end ZagXoum
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Somnifère
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Classieuse ! grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end 2715238403
Crescendo
whaaaat ?
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Crescendo
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Tu m'éblouis
Comme d'habitude
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Invité
Eh ben c'est pas une rigolote cette dame, elle va nous foutre dans la merde grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end 4049668423
Fyodor
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Fyodor
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grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end 1206242735 Re-bienvenue Not(y)

Quant aux neutres. Ce sont des imbéciles. La neutralité c’est la voie des faibles. Des moins que rien. De ceux que l’Histoire au mieux oubliera, au pire considérera comme complices.


grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end 3432663056 mais comment elle insulte mon DC c'est la!

grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end 2628785882 elle fait flippé grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end 3443293248 avec elle c'est grave que ça rigole pas tout ça !

grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end 1214026541 une femme badass sa fait plaisir avoir et je t'aime aussi~❤️

grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end 125022726 Gros bisous
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Invité
Cette fiche est magnifique.
Cette femme est magnifique.
Tu es magnifique.
grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end 3754624134
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grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end BTS-DNA-Icons-bts-40713096-100-100
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D/2
CE CODE ???? CETTE FICHE ???????
Epouse-moi
Pure
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Pure
D/1
Il fallait que je vienne crier mon amour pour ce prédéfinis.
Déjà, ELIZABETH DE BIOSHOCK.
BIOSHOCK TOUT COURT.
c'est la perfection??  grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end 3754624134
(pis il faut m'arrêter si je vais trop loin et que j'vois des ref partout, mais lorsqu'elle évoque son mari en parlant de lui comme d'un phare, l'image de l'eau, du bateau, tout ça, genre. ÇA PEUT PAS ÊTRE DU AU HASARD.)

et le code est de toute beauté et j'avoue que j'ai tendance à unpeubeaucoup jouer avec voilà.

Rebienvenue du coup. ♥️
Ophélia
grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end BEcNWX2
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Ophélia
C/5
je m'étais promis de me coucher tôt et puis j'ai lu vos messages d'amour  grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end 3754624134
alors pour vous remercier j'ai avancé la fiche d'Ophélia et j'ai même ajouté une playlist
(oué ya c'est une grosse référence à un épisode de game of thrones mais please pas de spoil pour les gens qui ont pas encore vu ♥️)
(et désolé pour toutes les références artistiques déformation étudiante)
j'espère que ça sera à la hauteur de vos attentes haha grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end 2715238403

ah et @Pure l'évocation du phare n'était absolument pas une référence à Bioshock XD
en fait j'avais pas réalisé avant ton message désolé de casser le mythe ♥️
Kerberos
grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end 437365Cheshireicon15
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Kerberos
D/5
Bon dieu, cette histoire. J'ai pas décroché une seule seconde de la lecture tellement c'est plaisant à lire.
J'aimais tellement Ophélia de base, mais te liiire.
Je suis méga contente de te voir la prendre; elle te va à ravir.. grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end 2715238403
Rebienvenue donc ! ♥️
Fahrenheit
bonjour
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Fahrenheit
S/0
I'm in love with youPetite référence musicale ici, car il faut bien que je dise pourquoi 'Ophélia' (et non, il n'y a pas que le poème d'Arthur Rimbaud "Ophélie" comme inspiration grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end 2386599915 ) Je te laisse apprécier la musique juste ici.
Sur ce.
Passons à ta fiche.
A la belle Ophélia.

Je tiens déjà à te dire merci.
Oui. Merci, car j'ai passé un très agréable moment à lire ta fiche. Je me doute que la rédaction n'a pas du être très évidente car la demoiselle est un personnage extrêmement complexe et avec énormément de nuances... Mais tu as su l'interpréter à ta façon et avec beauté - sincèrement, je suis au sol grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end 2715238403 J'ai eu beaucoup de mal à me remettre de la lecture de ta fiche et je pense que ça va se ressentir dans cette validation (qui va parfois te sembler un peu tiré par les cheveux - mais je tiens à te préciser que ta fiche m'a parlé sur plusieurs point que je ne vais pas m'empêcher d'énumérer.) Déjà, commençons par le commencement de toute chose, tes réponses au questionnaire Neverland. Belle mise en abyme. On ressent toute la rancœur, toute la frustration et toute la tristesse de la jeune femme rien que dans ce passage - on sait très bien qu'elle ne restera pas les bras croisés, qu'elle compte bien faire vivre au gang un véritable enfer (comme celui qu'elle a vécue à la mort de son mari - mon dieu, rien que de le relire je... Voilà, les mots et mes expressions m'abandonne.) Le choix en plus de la première personne rend la lecture encore plus émouvante, je trouve, et pourtant c'est un style avec lequel, normalement, j'ai énormément de mal (mais mon dieu, ta plume rend le tout si fluide, si beau, non sincèrement, tu m'as fais apprécier un style avec lequel j'ai toujours eu des soucis - chapeau l'artiste !)

Puis viens la lecture du caractère et là, tu touches la corde sensible de mon âme - tu fais des petits clin d’œil à l'art - tu cites Léonard, tu cites Raphaël - et ça sonne si bien, parce que oui, Ophélia est une femme raffinée qui doit très certainement aimer l'art et tout ce qui s'en rapproche. Donc déjà, un bon point, tu sais où taper pour me séduire, je te dis bravo ! Le caractère d'Ophélia est très bien interpréter, on sent que son côté manipulatrice se mêle parfaitement avec sa haine - on voit bien qu'elle est l'impératrice de son empire et qu'elle ne va pas hésiter à faire des ravages. J'aime ça. J'aime comment tu rédiges son caractère, comment tu l’interprète, je suis conquise ? Je l'ai déjà dis ? Je crois que oui ? Mais tu vas beaucoup de fois le lire ce mot durant ta validation. Ophélia elle se délecte du désespoir qu'elle inspire chez les autres, elle se fait cruelle et fatale, comme une balle en pleine tête. Elle n'a pas le temps d'être empathique, ni même compatissante - son malheur parle pour elle et la fait vivre ! Et tu commences à parler de son rôle à la Fuji TV et là, mes yeux se sont illuminés. Je pensais pas que tu dirais vraiment quelque chose concernant son travail (qui est quand même très important, on ne va pas se le cacher) - mais je pensais que tu le ferais de façon rapide - et mon dieu heureusement que je me suis trompé ! C'est parfait ! Cette façon d'amorcer le sujet (le premier amour des enfants et le fantasmes des maris, j'avoue avoir glousser de rire) et la suite. Comment elle travaille, comme elle se comporte, sa renommée, sa prestance, ses remarques cinglantes. J'adore, j'achète, je signe ! Et pourtant elle garde une ligne de conduite professionnel, toujours sur le bon sentier (c'est en cela qu'Ophélia est effrayante !) On ressent sa peine, on ressent sa colère, on ressent sa détresse, on comprend vraiment que les gangs lui ont subtilisé la moitié de son monde ! C'est beau, c'est brute et c'est juste d'une honnêteté incomparable. Je suis conquise encore une fois.

Et voilà l'histoire.
grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end 2715238403
Comment dire que j'ai envie de mourir ? Non, pas au sens propre, mais au sens figuré, je te rassure. Cette histoire, je l'imaginais, je l'ai retourné plusieurs fois dans ma tête, mais avec ton écriture, ça rend tellement mieux, c'est... Bon déjà, je suis morte avec le passage de Vallotton et son tableau le ballon & Ophélia. Genre j'aime énormément le rapport à l'art (je crois que ça se voit ?) Mais tu fais ça avec une habileté, c'est remarquable, il fallait le souligner (et tu cites Claude Monet, bravo, tu m'as achevée en un paragraphe !) Et on commence vraiment l'histoire après cela et bordel. Quelle histoire. Quelle style. Quelle génie ? On commence à Paris, de façon douce, avec volupté, on se dit clairement qu'on s'est perdu en cours de route vu le début de la fiche (c'est tellement chou qu'on est un peu désappointé je pense ?) Puis elle grandit et elle est princesse de sa chambre, elle rêve à tout, grande rêveuse dans un monde imaginaire parfait qu'elle s'est crée, encore une fois, je suis touchée ? Un déménagement qui brouille un peu ses sens, elle n'est clairement pas ravie, elle n'a le temps de dire au revoir à personne, mais elle suit le mouvement - elle n'a pas le choix ce n'est qu'une enfant (j'aime les raisons pour lesquelles elle n'aime pas Londres, je trouve ça géniale d'en avoir parler !) Sa vie dans ce nouveau pays n'est pas évidente, on le sent, ce n'est pas un endroit pour Ophélia (et tu t'es vachement bien dépatouillé pour nous le faire ressentir, avec tes connaissances sur l'endroit etc. Je le redis, mais bien joué !) Puis vient la mort de son père, le premier drame de sa vie alors qu'elle acceptait enfin de vivre dans ce pays... C'est triste. Oui. Ce passage me rend triste.

Son rêve de journalisme, d'arpenter le globe et d'écrire débarque et on est nous aussi emporté dans le flot de cette vague - on veut la voir réussir, poursuivre ses rêves ! Malgré le désaccord de la mère, elle ne laisse pas tomber, elle fonce corps et âme dans ce qu'elle veut faire (j'aime Ophélia pour ce côté là également, son côté fonceuse qui ne se pose pas plus de questions !) Et hop, on continue la traversée de son récit, on voit qu'elle a traversé le globe, qu'elle va et vient, retourne en France pour finir ensuite en Afrique et là voilà installé au Japon. Elle s'intéresse à la guerre des gangs (bien joué pour le rapport à l'intrigue/contexte, c'est clairement bien vu !) Et hop, sa rencontre avec Hayato, un passage obligé et si bien amené, c'est magnifique comment tu décris cette rencontre, cet amour quasi immédiat, un coup de foudre professionnel et fusionnel. J'étais "oooh" parce que je voyais clairement les choses ainsi, ce n'est vraiment pas pour me déplaire !

Et les ennuis s'enchaînent, malgré le job d'Ophélia à la Fuji TV, il y a les soucis de son mari et ce passage est clairement poignant - les disputes mais l'amour toujours aussi ardent, puis la fausse couche (comment dire que oui, c'est un combo qui fait mal. Mon coeur ne s'en remet toujours pas !) Et là suite...... Mon dieu. Tu décris leur vies avec facilité, tu t'attardes sur certains détails et en ellipse certains sans aucun soucis, ça n'en rend pas moins ta fiche cruelle. Parce que sa tape dans mon coeur et mon estomac, j'ai l'impression de me prendre des coups oui, c'est le cas de le dire. Car la découverte d'Hayato, sa façon de la vivre etc. C'est horrible, c'est du drame pur et dur et on aime ça ici...

Je pourrais faire encore long, mais ce post fait plus long que mes post rp et je pense qu'il est temps de m'arrêter. J'ai adoré ta fiche, j'ai adoré la lire et j'suis très heureuse d'avoir à la valider. Je m'y suis attardée longuement, preuve que j'ai véritablement aimer (et je l'ai relus plusieurs fois depuis hier pour bien m'immerger - je suis comblée !)

Tu connais le chemin petit padawan
J'ai hâte de te voir jouer Ophélia
Et de la voir comploter contre les gangs !
grief is a house where the mirrors have forgotten how to reflect us // end 2386599915

Avant d'aller arpenter les rues de Tokyo, n'oublie pas de recenser ton avatar. Tu peux aussi faire ta fiche de liens et poster une demande de RP ou répondre à une demande déjà faite.

Amuse toi bien parmi nous ♥️

Ophélia
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FT : elizabeth // bioshock infinite
Crédit : fahrenheit & jiji
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Messages : 35
Ophélia
C/5
Kerberos merci pour tous ces compliments ça me fait énormément plaisir.
J'ai mis beaucoup d'amour dans cette fiche et je suis ravi de voir que les autres le ressentent.
Merci ♥️

Et Fahrenheit. Mon dieu. Déjà merci pour la référence musicale parce que j'avais pas du tout pensé à ça. Et le reste du message. Te dire merci ne suffirait pas tellement ton message m'a mis les larmes aux yeux. C'est touchant et adorable et je suis si heureux que tu ais aimé Ophélia parce que j'ai tout fait pour être à la hauteur du prédéfini merveilleux qu'elle est. Merci pour ce message et surtout merci d'avoir créer ce personnage ♥️♥️
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